Du rêve à la réalité
Datte: 19/05/2022,
Catégories:
hh,
hbi,
jeunes,
hépilé,
vacances,
hsoumis,
hdomine,
cérébral,
Oral
hsodo,
init,
journal,
gay
Auteur: Dommi, Source: Revebebe
... je te veux femelle. Viensbruncher, tu dois prendre des forces, j’ai une folle envie de jouir de toi… il me reste à peine plus de six jours pour en profiter, et j’ai bien l’intention de satisfaire pleinement mes gros besoins sexuels.
— Et je peux savoir ce que tu entends par gros besoins sexuels Philippe ?
— Eh bien, lorsque je suis totalement libre comme maintenant, je dirais cinq ou six fois par jour… Bien sûr tout dépend de la partenaire, bien accompagné je peux faire mieux. Lana, je suis sûr que tu combleras mes attentes.
Rapidement, mentalement, je me mets à la comptabilité… Il reste encore plus de six jours à passer ensemble dans cette maison, les comptes sont implacables (6,5 x 5 = 33…). Je dois le faire jouir plusieurs dizaines de fois !
Peu importe la manière, dimanche prochain, ma candeur naïve d’hétéro sera bel et bien enterrée. Alan sera devenu, bi, homo, un hybride ? Au-delà de cette sexualité dont j’ignore tout, Alan ne sera plus le même.
Installés dehors dans le jardin, nous déjeunons agréablement. Philippe plaisante en me remémorant notre soirée… mes attitudes, mes caresses, mon excitation, mes regards intensifs sur son sexe et mon trouble… j’en ris tout en rougissant comme une pivoine. Nous évoquons notre adolescence… ses premiers succès féminins, mes flirts, ma timidité, mes complexes… Il n’arrête pas de parler. Évidemment ma main flatte son sexe régulièrement, il est dur !
Je l’excite, il bande, je trouve cela très valorisant, c’est nouveau ...
... pour moi : j’excite mon partenaire !
Je caresse sa tige, les yeux dans les yeux tout en buvant ses paroles. Mais c’est de sa faute : il n’énerve depuis le début du repas ! Il est très tactile, il ne rate pas une occasion de me toucher ici ou là… Ce ne sont pas des caresses : il me touche, me titille gentiment, passe sa main dans ma chevelure, me pince les tétons, assez érogènes j’avoue, si bien qu’à la fin de notrebrunch, je bande. Bien sûr, il le voit.
— Tu bandes petite cochonne, tu caresses ma queue et ça te met dans cet état ?
— Tu m’énerves à me tripoter partout depuis le début du repas, et puis honnêtement, ta queue en érection, savoir que je la fais bander ça m’excite terriblement, n’est-ce pas ce que tu souhaites ? Je n’arrive toujours pas à comprendre pourquoi maintenant ! Je me sens bien ici avec toi, j’aime te toucher, j’aime tes tripotages. J’appréhende tout de même la reprise de ma vie après cette semaine. La honte si ma famille, ou quelqu’un, apprenait ma véritable nature… J’ai peur que ça se lise sur mon visage. Et dans ma vie de tous les jours… comment le vivre ?
— Tout ira bien, c’est notre intime secret, personne ne pourra le savoir. Je m’efforcerai de faire en sorte que tu satisfasses mes besoins sans que cela provoque de soupçons dans notre entourage, mais nous en reparlerons. Revenons à l’instant présent. Tu me fais bander, mon excitation est quasi permanente, tu m’as comblé deux fois, je veux que tu prennes du plaisir, tu dois associer nos jeux ...