1. Alain


    Datte: 17/08/2018, Catégories: fh, vidéox, pénétratio, couple, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... en lui passant une main entre les cuisses.
    
    — Tu mouilles salope
    — Ouiiii
    — Tu penses à tes clients ?
    — Ouiiii
    — À un en particulier ?
    — Non, en général.
    — Menteuse. Tu penses à un en particulier qui te baise bien !
    — Oui, j’avoue.
    — Tu aimes qu’il te baise ?
    — Oui, j’adore
    
    En deux temps trois mouvements, j’avais ôté sa culotte, je l’avais mise à quatre pattes, et m’étais introduit en elle d’autorité. Dans ces moments-là, bien que sachant qu’il ne s’agit que de fantasmes, je suis terriblement excité. Ce n’est pas elle que je baise, mais une vulgaire salope que je domine. Et là, ça m’éclate grave. Elle a joué le jeu, jusqu’au bout, allant jusqu’à inventer des choses bien grasses pour me pousser à bout. Elle m’a dit que son amant ne se retirait pas pour jouir, et a exigé que je « crache » dans son vagin.
    
    Je n’aime pas ça en général. Je veux voir mon sperme jaillir. Je veux en contrôler le flux et la direction. Je n’aime pas qu’on me dise quoi faire. Mais pour une fois, j’ai accepté.
    
    Il faut dire que la semaine précédente, notre relation avait évolué. En bien.
    
    Comme un week-end sur deux, nous étions allés à la maison familiale. Comme d’habitude, je me suis refusé alors qu’elle se lovait contre moi. Je l’ai quand même laissé me sucer, jusqu’au bout. Pourtant, ce soir-là, j’avais eu envie d’elle. Sous la douche, je l’avais regardée avec envie, sans le lui montrer toutefois. Je l’avais trouvée belle, désirable, bandante. Et quand elle m’avait rejoint dans le ...
    ... lit, j’avais failli lui sauter dessus. Je n’avais aucune idée salace, juste envie de lui faire l’amour. Et une petite musique dans ma tête m’en a dissuadé, comme un signe indien. J’ai résisté, et joui dans sa bouche, sûr de la frustrer, et surpris de l’être moi aussi.
    
    Quelques minutes plus tard, je l’ai sentie quitter le lit et je l’ai suivie. Je ne savais pas pourquoi. Presque à chaque week-end elle quittait le lit, mais je n’avais jamais éprouvé le besoin de savoir ce qu’elle faisait du temps qu’elle passait dehors. Ce soir-là, j’ai ressenti le besoin de savoir, de la voir, de la suivre.
    
    J’ai tourné un moment avant de rejoindre la plage. Je l’imaginais trop peureuse pour s’aventure si loin de la maison. Et ce que j’ai découvert au bout du chemin m’a percuté violemment. Elle était debout, nue, et mon frère Christophe la tenait dans ses bras. La lune semblait n’éclairer qu’eux, sur la plage, avec en arrière-plan ses reflets brillants à la surface de l’océan au loin. Son bermuda était baissé aux genoux, et visiblement il la pénétrait, tendrement. Puis elle s’est allongée, et je les ai vus distinctement faire l’amour. Le bruit de la faible brise du soir masquait leurs bruits à eux, leurs souffles, leurs frottements, leurs râles peut-être. Ne venait jusqu’à moi que l’image d’un couple d’amoureux qui partagent un moment magique, une étreinte sublime. J’ai vite oublié que ma femme était là avec mon frère. Ce n’était qu’un couple en plein émoi, un couple qui ne fait qu’un, un ...
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