1. La trahison de mon épouse, son abattage mérité (3)


    Datte: 17/05/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Yabe, Source: Hds

    ... rempli de viagra. Je ne sais même pas combien de cachets j’avais pu prendre. Je lui avais demandé de monter dans notre chambre car j’avais une surprise pour elle. J’avais acheté un jolie gode-ceinture juste pour qu’elle m’encule.
    
    Lorsque je la rejoignis, elle était équipée déjà de cette ceinture en latex noir, obscène et misérable. Je ne ressentis rien à part le sentiment de n’être rien, j’allais me faire enculer comme une merde. Elle me burina le fion comme jamais on ne me le fit auparavant.
    
    J’acceptai cette soumission en repensant en boucle à la jouissance qu’elle avait eu la veille et cela me rendait tout simplement dingue. Elle m’encula pendant de longues minutes et je savais qu’elle ne ressentait aucun plaisir à le faire. Mais je lui avais demandé alors elle s’exécuta sans aucune opposition.
    
    Je sonnai alors la fin de la récréation. Elle allait prendre chère car elle le méritait, cette salope, cette pute. Je la basculai sur le dos et ouvrai son anus directement avec mon gland, sans forcer particulièrement, il était travaillé et prêt déjà à tout accepter.
    
    L’alcool fit son œuvre et me permit de lui défoncer le rectum sans risque d’une éjaculation trop rapide. Comme presque toujours, je la sentis jouir quelques minutes plus tard. Il aurait fallu attendre presque 50 ans pour qu’elle jouisse par le cul à chaque rapport, son ancien mari ne l’ayant curieusement jamais sodomisée en plus de 25 ans de vie commune !
    
    Sa jouissance fut si brutale qu’elle mit du ...
    ... temps à recouvrir ses esprits et je profitai de cet instant pour accélérer et accélérer encore. Je me vidai alors au fond d’elle sans éprouver d’ailleurs de réel plaisir. J’aurai du alors me retirer pour que nous puissions enfin dormir mais l’alcool et le viagra changèrent complétement la donne. Ma bite resta raide et je décidai alors de recommencer mes va-et-vient, comme une machine et sans m’arrêter.
    
    Je pense encore aujourd’hui que ce fut la seule fois que je parvins à rebander après avoir éjaculé quelques secondes auparavant. De son côté, son anus était trop ouvert pour me procurer les sensations indispensables à cette deuxième fois. Je passai alors ma main sous elle et commençai à glisser 1 puis 2 doigts sans ressentir le moindre obstacle. Tout glissait facilement, aidé par le sperme encore présent.
    
    L’alcool que j’avais ingurgité comme un ivrogne cassa alors toutes mes limites et je passai 3, 4 puis 5 doigts. J’étais en train de lui asséner une double pénétration anale et elle aima ce moment, cet instant durant lequel elle fut rempli en totalité.
    
    Je pense l'avoir enculée pendant au moins 20 minutes, son cul devait être tellement ouvert mais cela m’importait peu. Je ne pensai qu’à moi, j’aimai ce que je faisais, je voulais jouir une autre fois et la remplir du sperme qui restait en moi. Enfin, je sentis que le jus montait et sans me soucier si elle allait jouir ou non, je me vidai enfin elle.
    
    Nous dormîmes au moins 12 heures et au réveil, je voulus inspecter par ...