1. La trahison de mon épouse, son abattage mérité (3)


    Datte: 17/05/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Yabe, Source: Hds

    ... veille et moi non.
    
    Je restai dans son cul avant que son sphincter m’expulse avec un bruit obscène. Je me collai à son cou, elle respirait fort, elle transpirait légèrement et ne prononça aucun mot.
    
    Je crois que je me rendormis à ce moment, fatigué de ces dernières heures et épuisé sûrement d’avoir libéré trop de tension. A mon réveil, elle n’avait pas encore bougé. Je me dis qu’elle ne voulait pas me réveiller. Je ne pouvais pas penser surtout qu’elle voulait ne rien faire qui pourrait m’agacer.
    
    Je me rappelai alors et inutilement la soirée d’hier et de ce qu’elle avait fait. J’étais responsable de tout sauf de l’instant où elle jouit en recevant le sperme d’un autre. Elle devait payer pour cela, je ne l’acceptai pas en réalité, je n’aurais jamais pensé qu’une femme puisse jouir ainsi en recevant le jus d’un homme au fond de sa gorge.
    
    Ces pensées me firent rebander et mon gland se positionna de nouveau à l’entrée de son anus encore ouvert de l’assaut précédent. Je descendis coller de nouveau ma bouche sur sa rondelle. Elle était encore humide de mon jus. Je lui demandai de s’assoir sur moi pour qu’elle me donne tout ce qu’il restait de moi au fond d’elle. Elle s’exécuta sans discuter et posa sa rondelle juste au-dessus de ma bouche.
    
    Je reçu un jet encore chaud et j’avalai tout. Elle se remit sur le ventre, ma bite était tellement raide et son anus encore lubrifié que je m’enfonçai en elle d’un coup. Ayant joui quelques minutes auparavant, je pus la besogner ...
    ... sans aucune retenue, comme je l'aurais fait avec une pute, je lui baisai le cul comme jamais, j’entrai, je ressortis, je la défonçai et défonçai encore. Je crois qu’elle jouit du cul au moins deux fois avant que je me vide de nouveau en elle.
    
    Durant des semaines, je pensais avoir trouvé la femme que je recherchais depuis si longtemps. Je n’avais aucune crainte avec elle, je pouvais tout lui dire, tout lui demander et je savais qu’elle n’allait jamais me juger. Plusieurs fois, je m’étais interrogé sur ce qui aurait pu la choquer.
    
    Quelques années plus tard, je me dis encore que j’aurais dû évidemment m’interroger, cela m’aurait permis de comprendre ce qu’elle voulait de moi en réalité.
    
    Je pus assouvir de très nombreux fantasmes en lui disant tout et sans ménagement. Je lui racontais alors quand, adolescent, j’appréciais déjà m’introduire des objets dans l’anus. Je me revois encore lui raconter cela, un samedi après-midi, devant la télévision, sans aucune gêne, comme si cela était si naturel, je rougirais de honte aujourd’hui à lui dire cela alors que je n’ose même plus lui avouer vouloir caresser ses pieds.
    
    Je lui achetais des sex-toys et nous nous amusions de cela. Je les plaçais dans l’appartement que nous avions loué, je les cachais, sur les étagères, dans nos affaires. C’était puéril sûrement mais tellement mignon. C’était un jeu entre nous , c’était bon et tellement simple, c’est si loin aujourd’hui.
    
    J’avais sûrement trop bu encore une fois ce samedi et j’étais ...