1. Rue Saint-Antoine (1)


    Datte: 16/05/2022, Catégories: Hétéro Auteur: desanges, Source: Xstory

    ... en plus envie de lui. Oserait-elle lui dire ? Fallait-il trouver un prétexte pour l’attirer chez elle et lui faire l’amour ? Son cœur battait de plus en plus fort.
    
    Stéphane avait ce même désir pour cette jeune beauté longiligne. Il avait conscience de lui plaire, mais méfiant de la manière dont les femmes gèrent leurs désirs, en particulier les plus intimes, il alternait prudemment les compliments physiques et l’éloge des études d’art que poursuivait Louise à la prestigieuse École du Louvre.
    
    Vint, après deux cafés, une question à laquelle Stéphane n’avait pas encore songé. Louise, munie de sa lourde valise rouge, partait-elle en voyage ou en revenait-elle ?
    
    La jeune étudiante expliqua qu’elle revenait d’un voyage à Rome où elle avait visité musées de peinture pour nourrir ses recherches et vestiges antiques à raison d’une passion ancienne pour la ville aux sept collines. Aussi venait-elle seulement de revenir à Paris où elle résidait à deux pas du café où ils étaient assis. Une lueur de désir, plus intense que les autres, traversa alors le regard vert émeraude de Stéphane. Louise comprit tout de suite et offrit au bel inconnu, sans la moindre équivoque, de venir chez elle.
    
    Stéphane porta la lourde valide dans des escaliers de plus en plus étroits, jusqu’au cinquième étage. Louise ouvrit rapidement la porte. Et c’est là, le seuil à peine franchi, que Stéphane la serra tout contre lui, portant sa bouche à la sienne. Ils échangèrent un premier et long baiser.
    
    Puis ...
    ... le jeune homme, après avoir embrassé le cou de Louise, déboutonna sa chemise pour goûter la peau de son ventre qui se creusait au fur et à mesure qu’elle sentait le plaisir la submerger. Il prit ensuite le temps de goûter ses petites pointes fermes, les faisant bondir sous des petits coups de langue énergiques avant de les prendre en bouche les aspirant comme des petites friandises au goût légèrement salé.
    
    D’un geste ferme, décidé, Stéphane fit se retourner Louise qui se retrouva face à la porte d’entrée, les mains plaquées, le corps cambré. Le jeune homme fit sauter le bouton du jeans qui moulait un petit cul plus long que large, lequel se retrouva rapidement mis à nu. Il embrassa les fesses de Louise, savourant sa peau douce et fraîche laquelle frissonnait sous le piquant de sa barbe. Stéphane pouvait déjà sentir l’odeur de son sexe, ce parfum légèrement âcre qui monte jusque dans les sinus. Ce cul était si beau, si clair. Il le pétrissait, le palpait alors que Louise se cambrait encore davantage écartant progressivement ses jambes. Tout en travaillant ce miracle de la nature, Stéphane caressait d’une main l’intérieur des cuisses de Louise tout en remontant progressivement jusqu’à son sexe dont il effleura à plusieurs reprises la fente gonflée.
    
    Totalement mise à nue par Stéphane, Louise se laissa porter jusqu’à son canapé où le jeune homme l’assit avant de la faire basculer jambes en l’air et écartées. Il s’agenouilla devant la chatte humide de la jeune étudiante, un ...