1. Les examens de fin d'année


    Datte: 16/05/2022, Catégories: fh, ff, jeunes, grossexe, grosseins, école, contrainte, caresses, intermast, Oral fdanus, jouet, fantastiq, Auteur: Ellian, Source: Revebebe

    ... peu à peu mes esprits je m’interroge sur les velléités de mon astronaute. La fusée s’approche dangereusement de mon trou noir. Aucunement effrayée ni rebutée par l’hostilité flagrante de mon orifice, elle s’aventure là où nul homme n’a jamais posé le pied, ni quoi que ce soit d’autre. Vous commencez à me connaître, je suis une fille gentille, toujours prête à éviter à autrui un danger inutile. Et surtout, ce n’est pas parce que je me suis mis récemment un objet en acier entre les fesses que je suis prête à ce qu’un assemblage de carbone et de métaux divers vienne, sans prévenir, m’enculer profond.
    
    — Eh, pas par là s’il te plaît.
    — Pour modifier le contenu du programme, veuillez énoncer le mot de passe.
    — Oh, tu déconnes là ?
    
    Finies les bonnes manières : l’agaçant robot ne renonce pas à m’entreprendre l’anus, au contraire, il s’avance de plus belle, pressant son gland puissant contre mon entrée interdite.
    
    — Mais arrête, c’est quoi le mot de passe ? Cul ! Baise ! Bite !
    
    Les mains me maintiennent les hanches, mon muscle commence à s’épuiser, laissant le sexe finir d’écarter la porte entrouverte.
    
    — Robot ? École ? Plaisir ?
    
    Les sensations ne sont pas très nettes, mais je sens bien que l’envahisseur est tout proche d’entrer, le gland s’enfonce. L’espoir m’abandonne, quand de la porte d’entrée, claire et haute, une voix se fait entendre.
    
    — Amour !
    
    Le sexe se retire, libérant mon cul. Je ne sais si c’est le soulagement d’être libérée de la folie ...
    ... pragmatique de ce robot ou la vacuité retrouvée, mais la sensation est incroyablement agréable. Je me retourne vers cette voix, cette libératrice inattendue. À la vue de ces cheveux, ces traits… la reconnaissance se mue instantanément en rage. Alors tous les sentiments enfouis, contenus tant bien que mal jusque là, resurgissent.
    
    — Toi ! Tu me l’as pris !
    
    Je me précipite sur elle, la saisissant par le cou et la plaquant violemment contre le mur. Je hurle ma haine tout contre son visage.
    
    — Pourquoi moi ? Pourquoi tu me fais tout ça ?
    — Tu… tu…
    
    Je sais que mes mains la serrent trop fort, mais je ne les contrôle plus. Le cœur a ses guerres que la raison n’apaise point.
    
    — Pourquoi ? Pourquoi ?
    — …
    
    Son visage change de couleur, je prends soudain conscience de la gravité de ce qui est en train de se passer. Je desserre l’étau.
    
    — Tu… tu allais quitter l’école !
    — Ah d’accord, tu avais peur de perdre ton petit joujou ! Et ça te donnait le droit de me piquer mon âme sœur.
    — Ton mec, c’était un salaud !
    
    Comment peut-elle dire ça ? Comment ose-t-elle dire ça ?
    
    — Tu as des leçons de morale à donner ? Je t’écoute, c’est vrai que tu es une dame de grande vertu, c’est bien connu.
    — J’ai des amies qui sont dans la même fac que lui. Je leur ai demandé quel genre de gars c’était. C’est un mythomane, il a couché avec la moitié de la fac.
    — Ça ne semblait pas te gêner quand il te défonçait la bouche.
    — Je voulais que tu t'en rendes compte, tu ne m’aurais jamais crue.
    — ...
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