1. La famille de ma meilleure amie (4)


    Datte: 16/05/2022, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Azos, Source: Xstory

    ... fois malgré mon malaise et on passa globalement un après-midi sympa à vadrouiller en ville. Elle choisit ensuite de s’arrêter devant un magasin de vêtements de luxe. Je la suivis à l’intérieur où elle s’arrêta devant le rayon de lingerie coquine.
    
    — Euh... Tu veux que j’attende un peu à l’écart ? Lui demandai-je, gêné.
    
    — Non c’est bon. J’ai besoin de ton avis.
    
    Elle s’engagea dans une allée, me laissant seul à l’entrée du rayon. Elle revint quelques minutes plus tard avec un tas de vêtements dans ses mains et alla s’enfermer dans une cabine d’essayage. Interloqué, je me postais devant la cabine de dos et attendit son retour. Au final, je l’entendis m’appeler :
    
    — Sam, tu peux venir ?
    
    — Euh... T’es sûr ? fis-je, hésitant.
    
    — Oui oui dépêche !
    
    Je jetai un coup d’œil aux alentours et, ne voulant pas laisser les sacs dehors sans surveillance, pénétrai dans la cabine d’essayage avec. Ils glissèrent de mes mains sous le choc que me fit la vision que j’avais sous les yeux. Léa s’était entièrement dévêtue et ne portait plus qu’une robe noire moulante essentiellement en ficelles et dont la seule zone en tissus était ses seins, qui étaient donc parfaitement cachés comme dans n’importe quelle robe. Elle fit un tour sur elle-même et je vis que même son cul était visible entre les ficelles comme ses côtes, son ventre et la zone de sa culotte où normalement on aurait vu sa chatte. Quand elle se remit face à moi, elle vit mon air ahuri.
    
    — Fais pas cette tête ! Me ...
    ... dit-elle toute détendue et en souriant. J’ai besoin de ton avis.
    
    — Oh... tentai-je de me ressaisir. C’est pour un nouveau copain que tu ne m’as pas encore présenté ?
    
    Son sourire se fit un peu plus coupable.
    
    — Peut-être que tu le rencontreras bientôt.
    
    — Il doit être sacrément spécial celui-là pour que tu ne m’en ais jamais parlé.
    
    Elle haussa les épaules.
    
    — Désolée, mais je voulais attendre un peu. Pour être sûre, tu vois.
    
    — Ouais. Tu dois être vraiment amoureuse.
    
    C’est ton père ? Ne pus-je m’empêcher de penser.
    
    — Bon... Si ça te dérange pas que je te vois comme ça.
    
    — Non. Je te fais confiance, me répondit-elle. Et puis on est amis depuis tellement longtemps toi et moi, on peut bien survivre à ça non ?
    
    — Ouais. T’as raison.
    
    — Alors cette tenue ? Me questionna-t-elle.
    
    — Pas mal. Mais je peux pas trancher si j’ai pas vu les autres.
    
    — Je sais.
    
    Et là, elle se déshabilla devant moi, enlevant la robe à toute vitesse. Heureusement qu’elle avait gardé sa culotte. Mais j’eus quand même le temps de voir ses seins.
    
    — Il m’en faut deux, me confia-t-elle.
    
    Après ce fut comme un défilé. Il y eut la traditionnelle tenue en porte-jarretelles, un body blanc, puis un noir presque transparent qui ne laissait aucune place à l’imagination, une tenue en latex moulante et enfin : un deux pièce en ficelles avec deux dans le dos et sur le ventre qui reliait le haut et le bas. Les fils étaient bleus et ne faisaient qu’entourer ses seins et encadrer sa chatte. A ...