1. Une femme de service... particulier


    Datte: 15/05/2022, Catégories: fh, fhh, hagé, candaul, copains, grossexe, groscul, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Masturbation Oral 69, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, Humour couplea3, Auteur: Jacquou, Source: Revebebe

    ... tout en virevoltant des hanches, Marthe interpella son mari en ces termes :
    
    — Donne-moi ta queue à sucer.
    
    L’affaire prit dès lors une autre tournure. C’est un trio que monsieur Muller commença à enregistrer. Et même, ô miracle, une double pénétration anale vaginale puisque Marthe, s’étant retournée pour continuer à chevaucher Gaétan, offrait son petit trou à son mari qui, désormais entièrement nu, ne tarda pas à répondre à la demande. L’autre miracle fut que monsieur Muller se mit à bander. Oh, certes, pas une bandaison à la mesure des deux Camerounais, il ne tirait pas, si on ose dire, dans la même catégorie, mais enfin, c’était quand même une petite raideur sympathique. L’activité soutenue du trio, alimentée par les piaillements de Marthe, faillit même le faire éjaculer. Il ressentit juste une sorte de petite brûlure à la vision des deux barres chocolatées s’enfonçant en synchronisation parfaite dans les tréfonds de son employée de service, laquelle était agitée de tremblements faisant craindre une syncope. Ses deux partenaires éjaculèrent quasi en même temps, laissant sur les serviettes prudemment posées par Marthe sur le lit d’épaisses coulées de liquide séminal qui remplirent la pièce d’une odeursui generis. Soupirs, gémissements et grognements conclurent ce coït à trois que monsieur Muller, un peu flageolant, jugea parfaitement conforme à son investissement. Il ne lui restait plus ...
    ... qu’à offrir sa douche et à proposer à boire avant que chacun ne s’en retourne dans ses foyers.
    
    *******
    
    Deux jours plus tard, Marthe se présenta comme d’habitude chez monsieur Muller avec son bandana et son petit sac pour remplir ses obligations professionnelles. Toujours avec son sourire aux lèvres, mais comme si rien ne s’était passé le samedi précédent. Tout au plus fit-elle une allusion à la table de la cuisine pendant qu’elle essuyait la vaisselle :
    
    — Elle est solide, celle-là, hein, monsieur Muller ?
    — Heu… oui, elle est solide.
    
    Elle poursuivit sa tâche comme à l’accoutumée et monsieur Muller se demanda si cette pulpeuse femelle était bien celle qui s’était fait sodomiser par son mari tout en chevauchant son amant quelques jours plus tôt, si c’était bien elle qui avait hurlé de plaisir sur le lit de sa chambre d’amis, si c’était bien elle qui avait empoché ses 500 euros pour se montrer nue dans la passion du sexe. N’aurait-il donc vécu cette scène que dans son imagination ? Elle le laissa durant ses deux heures dans cette incertitude, avec toujours le même enjouement, toujours la même joie de vivre, toujours ce petit accent si particulier aux Africains francophones qui le ravissait. Oui, il devait avoir rêvé, mais c’était un beau rêve.
    
    Quand elle se rhabilla après son travail, sur le seuil de la porte, elle lui lança avec un clin d’œil :
    
    — Alors, monsieur Muller, à samedi ? 
«1...3456»