1. Débordements intimes


    Datte: 14/05/2022, Catégories: fh, extracon, parking, voiture, intermast, Oral fdanus, confession, occasion, Auteur: Eric du sud, Source: Revebebe

    ... la longueur de mon sexe.
    — Là…, j’aime quand tu vas plus loin, encore, encore, encore.
    
    Paroles qui sont soufflées au rythme de mes allées venues dans sa bouche devenue très gourmande.
    
    Elle aime sucer son mec, je le sais depuis les premières minutes de notre improbable rencontre, car elle me l’a bien fait comprendre. Cependant elle a peur de l’éjaculation, elle n’aime pas le sperme, et semble toujours anxieuse d’une éjaculation incontrôlée. Pourtant elle sait bien que je suis un homme très discipliné, auself-control assuré…
    
    — Embrasse-moi maintenant.
    
    Je veux sa bouche, je veux aussi qu’elle s’ouvre pour moi. Elle obéit, se soulève légèrement du siège et ma main peut prendre ainsi possession de son intimité. Elle est trempée, comme j’aime qu’une femme soit. Et mes doigts, tout en m’interdisant toute pénétration, lissent sa fleur, étalent sa rosée odorante.
    
    — Je te veux encore.
    
    Et elle repart sur sa chaude et raide virilité pendant que mes doigts, sans relâche, adoucissent son intimité, son clitoris.
    
    — Ça vient, je vais jouir.
    
    Cet aveu me fait durcir encore plus, je sais que ma maîtresse va devenir intenable après son premier orgasme, et je m’applique consciencieusement sur le centre névralgique de sa sensualité.
    
    Elle reprend sa fellation, s’interrompt de nouveau pour me préciser son plaisir :
    
    — Oui, là, encore, là, ne t’arrête pas.
    — Tu sais comme j’aime te sentir jouir. Vas-y, jouis pour moi.
    
    Tout en dessinant une ultime arabesque avec sa ...
    ... mouille sur son clito, maintenant dur comme un pois.
    
    — Oh, je viens, je jouis…
    
    Juste après son orgasme, je dois retirer ma main, car elle est maintenant si sensible que cela lui devient douloureux. Je la redresse, pour l’embrasser doucement, la câliner.
    
    — Tu as des doigts de fée, tu me rends folle.
    — C’est toi qui es chaude, qui ne demandes qu’à craquer sous la jouissance.
    
    Je veux qu’elle réalise qu’elle est une femme « sexe » et moi seulement le déclencheur d’un plaisir latent.
    
    On s’embrasse encore, sa langue me lèche les lèvres, elle veut me faire craquer, rétablir l’équilibre entre nous, se jette encore une fois sur mon sexe, pour cette fois-ci me pomper, me sucer bruyamment. Le gentil flirt poussé a basculé dans le total sexe, « le cul » entre un amant exigeant et sa maîtresse très reconnaissante. Elle me ravage le gland, me ventouse le frein, je l’accompagne en rythme, de légers coups de bassin, je veux qu’elle sente que moi aussi je pars.
    
    — Tu me suces si bien, mais moi aussi j’ai envie de te lécher, de goûter à ton parfum d’amour.
    — Pas tout de suite, j’ai trop envie de te sentir prendre du plaisir, me répond-elle.
    
    Rarement une fellation, je devrais dire une pipe, n’aura tant duré, ma maîtresse est en manque de queue, elle me le montre, ouvertement, là, dans sa voiture familiale, à peine isolés, sur ce vague parking.
    
    — Arrête, je veux sentir ton parfum de femme maintenant.
    
    Elle se redresse, je l’embrasse, je lui mordille les lèvres. Elle a le ...