1. Débordements intimes


    Datte: 14/05/2022, Catégories: fh, extracon, parking, voiture, intermast, Oral fdanus, confession, occasion, Auteur: Eric du sud, Source: Revebebe

    Enfin, agendas et désirs concordaient pour le plus coquin des lundis au soleil, même si je savais par avance qu’en deux heures, il ne pourrait s’agir que d’un simple flirt.
    
    À moi de trouver les bons gestes, le bon rythme, les bons mots pour qu’il devienne torride…
    
    Ayant imposé à ma maîtresse le port exclusif de robe, je m’étonnais de ne pas recevoir de consignes par texto quant à ma tenue. Toujours assez fier de ma virilité, j’optais pour un jean, sans entrave, donc ni ceinture, ni caleçon et plutôt ample…
    
    13 h 45, un texto me prévient qu’elle est en route, pour « la colline », tout près de chez nous. Parc aménagé ou espace remise en forme, pins et buissons sauvages sont propices à toutes activités de plein air. Cependant, les températures ont baissé, un fort mistral balaye la région, la zone est déserte. Dès mon arrivée, je me gare contre la voiture de ma maîtresse, je rentre dans son véhicule, et hop, me voilà tout à côté d’elle ! Enfin.
    
    Je l’embrasse et immédiatement flatte la peau nue de ses jambes par de chastes caresses. Elle me parle de tout, je lui réponds vaguement entre deux baisers dans le cou, les mains baladeuses…
    
    Je la questionne pour connaître son niveau de désir, je la harcelle pour qu’elle me dise de quand date sa dernière masturbation, son dernier orgasme.
    
    — J’ai pas la tête à ça… c’est toi qui m’as fait jouir la dernière fois.
    
    Elle ment, car je sais qu’elle aime se caresser en pensant à moi, je lui ai fait avouer plusieurs fois pendant ...
    ... l’amour :
    
    — La nuit, je me réveille pleine de désirs, je pense trop à ta queue et je dois me soulager pour pouvoir me rendormir.
    
    Elle est sur la défensive, ce qui me chagrine un peu, car j’aime sentir la confiance, l’abandon chez une femme dans l’intimité. Mais, après tout, c’est à moi de réinstaurer cette communion entre nos corps, nos désirs.
    
    Baisers, questions, aveux se succèdent dans le triangle bouche – cou – oreille pendant que mes doigts jouent avec l’élastique de sa culotte, malgré une invitation à l’exploration peu expressive, tant ses cuisses restent serrées. Pourtant de son côté, elle est partie à la recherche de ma virilité, car contrairement à elle, je suis très « open », et sa main trouve vite mon sexe, dur, gros et chaud, elle le caresse, doucement, mais sans relâche.
    
    Je l’embrasse, la mords au rythme de sa masturbation :
    
    — Je le veux dans ma bouche, me souffle-t-elle en plongeant sa tête vers ma queue dressée.
    
    Ma maîtresse commence à perdre pied, ses problèmes de couple, ses soucis quotidiens s’évanouissent, ses besoins de femelle la submergent. Elle « travaille » de ses lèvres, de sa langue, mon gland cramoisi, mais trop peu le frein, là où les sensations peuvent devenir si intenses. Le plaisir est fort surtout que la frustration de cette succion incomplète aiguise mon désir.
    
    — Plus loin, ma chérie, j’ordonne tout en donnant de légers coups de bassin pour lui montrer combien j’aime profiter pleinement de la douceur de sa bouche sur toute ...
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