1. Arkadash (ami)


    Datte: 13/05/2022, Catégories: hhh, inconnu, grossexe, voyage, voiture, hsoumis, Oral gay Auteur: Micchel1954, Source: Revebebe

    ... grande douleur, très grande douleur, comme un déchirement.
    
    Je me suis défendu, mais très vite, mes reins se sont cassés, j’ai hurlé et il m’a enfoncé d’un trait, j’étais hors de moi, je soufflais comme une bête, et lui il a commencé à me pilonner, il baisait pour lui, pas pour moi.
    
    Il m’enfilait ses kilomètres de solitude de routier, alors je me suis rendu et j’ai pensé à cette femme sur la plage, je me suis ouvert, offert, et il y est allé de toutes ses forces et d’un coup, au fond de la douleur, c’est venu, j’ai joui, c’était bien, c’était bon. Il me baisait, j’étais content, heureux d’être baisé, et les orgasmes venaient les uns après les autres, sa queue de plus en plus dure…
    
    J’ai pensé :Putain il va tout me mettre, comme la femme sur la plage, et les préservatifs, loin, et le sida et le reste… et j’ai senti sa queue gonfler, tressauter, j’ai entendu quelqu’un crier, c’était moi, puis un autre, lui, et ce fut chaud au fond de moi, très chaud, très bon.
    
    Il est sorti, je l’ai entendu descendre, alors que je reprenais mes esprits, l’autre était déjà là, il bandait déjà, m’a ...
    ... mis sa queue dans la bouche, très grosse… Très vite, il s’est mis derrière moi et sans aucune précaution, ni douceur, m’a enfilé avec sa queue énorme, direct, je me suis laissé faire, je me suis accepté en tant que femelle ; il m’a utilisé, je ne sais combien de temps, le temps lui-même se dissolvant dans mes orgasmes et ses grognements, puis il m’a pris les bras en arrière, et m’a mis une série d’une violence impossible, je n’étais plus là, navigant entre torture et plaisirs extrêmes indescriptibles… Juste, je me rappelle avoir crié : « Encore ! », alors qu’il se vidait en moi…
    
    Puis il est descendu du camion, se rhabillant prestement, il a laissé la porte ouverte, m’a fait signe de remonter mon short, et de descendre. Alors que je descendais, ils étaient tous les deux assis sur leur trépied, autour du camping-gaz. Il m’a tendu le briquet avec un clin d’œil, me disant :
    
    — Thanks, Argadash !
    
    Je suis parti comme un automate, bien humide dans mon sillon, me suis assis dans ma voiture.
    
    La nuit était là, douce et heureuse, j’ai roulé et me suis dit :Putain, quelle aventure, Argadash ! 
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