1. Troublant voisinage (1)


    Datte: 13/05/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Obedientsub83, Source: Xstory

    ... jusqu’à ce qu’elle retombe sur le canapé. Je me suis relevé, déshabillé en quelques gestes et, la redressant et la retournant, je la pris d’un coup de reins ferme et décidé en levrette, sur le canapé. Je la prenais profondément en de longs mouvements amples alternant avec de petits coups rapides et secs. Je la saisis par les seins et la fis se redresser contre moi pour l’empaler profondément en lui embrassant le cou. Puis je l’ai repoussée et saisis fermement par les hanches pour la baiser fermement, comme je savais qu’elle aimait, en la traitant de petite salope mouillée, lui disant qu’elle était ma petite chienne bonne à baiser. Des mots crus qui la rendaient folle. Elle ne tarda pas à jouir à nouveau et, ne pouvant résister plus longtemps, je me suis répandu en elle.
    
    Le dimanche se poursuivit paisiblement, le soir venu, après avoir regardé quelques épisodes d’une série, nous sommes allés nous coucher et avons refait l’amour, de manière plus paisible et douce. Et à nouveau, alors que ma si belle femme était dans mes bras, fébrile et gémissante, je me surpris à nouveau à penser à notre voisine.
    
    Dès le lundi soir, on sonna à la porte. C’était notre voisine, elle devait juste rentrer du travail, portant ses cheveux ramenés en un chignon strict, un tailleur ajusté et des lunettes lui donnant un air de sévérité appuyé.
    
    — Bonsoir voisin. Comment allez-vous ?
    
    — Bonsoir, très bien merci. Et vous ?
    
    — Bien, bien. Je ne vous dérange pas ?
    
    — Du tout. Entrez, je ...
    ... vous prie ? Que puis-je pour vous ?
    
    — Ce n’est pas nécessaire. J’en ai pour un instant. Êtes-vous libres mercredi soir ? Nous souhaiterions vous inviter à dîner. Quelque chose de simple et d’informel.
    
    Je me suis tourné vers le salon et ai appelé ma compagne :
    
    — Chérie, est-ce que nous sommes libres mercredi soir ? Mme de R*** nous propose de dîner avec eux.
    
    Ma belle nous rejoignit.
    
    — Bonsoir Mme.
    
    — Je vous en prie, appelez-moi Sylvie.
    
    — Très bien Sylvie. Au fait, moi, c’est Sarah, et mon compagnon s’appelle Stéphane.
    
    — Hé bien Sarah, vous êtes ravissante ce soir.
    
    Ma compagne rougit.
    
    — Merci Sylvie.
    
    — Nous sommes donc d’accord ? Mercredi, 19h30, chez nous.
    
    — Avec plaisir.
    
    — Très bonne soirée alors.
    
    — A vous aussi.
    
    Notre voisine avait déjà tourné les talons et s’engageait dans la cage d’escalier.
    
    — Hé bien il semblerait que nous allons devoir sympathiser avec nos voisins, dit ma femme.
    
    — Oui. C’est une bonne chose, ils m’ont l’air très bien.
    
    — Mmmm... Je ne sais pas, elle me fait toujours une drôle d’impression. Comme un léger malaise en sa compagnie.
    
    — Tu es toujours méfiante. Détends-toi et laisse leur une chance mon amour.
    
    — On verra bien.
    
    La soirée reprit son cours, et, après le dîner, alors que ma belle s’apprêtait à se plonger dans un livre, je la pris par la main et la conduisis dans la chambre. Là, je l’ai jetée sur le lit, et lui ai fait longuement l’amour. L’image de notre voisine, si élégante et sensuelle, ...
«1234...17»