1. Un détective amateur


    Datte: 17/08/2018, Catégories: ffh, rousseurs, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, Auteur: Libero, Source: Revebebe

    Marc : le narrateurCécile : ma copineCamille : ma fiancéeCloé : l’amie de CécileAntoine : le mari de CloéIrène : la call-girl
    
    Aujourd’hui, j’ai beaucoup de mal à me concentrer sur mon travail ; Cécile, ma collègue, n’arrête pas de m’envoyer des messages en me faisant des grimaces derrière la séparation en verre de mon bureau. J’aime bien Cécile, elle est très sympa et rigolote. Depuis quelques semaines, j’ai pris l’habitude d’aller déjeuner avec elle à la cafétéria ; elle me fait rire ! De plus, c’est la principale animatrice de « Radio Langue de Pute », radio imaginaire que nous avons créée pour nous raconter les derniers cancans de notre entreprise où travaillent quand même presque 500 personnes.
    
    Nouvel échange de mail avec Cécile :
    
    Je fais tourner mon siège, et par ma fenêtre j’aperçois un bout de la Grande Arche de la Défense. Il faudrait quand même que je vérifie si quelqu’un espionne le courrier électronique, dans cette boîte ! J’ai seulement 28 ans et j’y travaille depuis deux ans, après de longues études ; bon salaire, boulot intéressant. Il faut que je fasse attention, je ne veux pas le perdre. Camille, ma fiancée, serait furieuse !
    
    À la cafétéria, j’ai déjà mon plateau à la main, mais toujours pas de Cécile ; elle est en retard ! Je ne veux pas m’asseoir tout seul car il y a le risque que quelqu’un d’autre veuille me tenir compagnie et je ne pourrai pas discuter tranquillement. La voilà ! Elle court presque. Rousse, chevelure frisée et abondante, yeux ...
    ... verts, plutôt petite avec des formes féminines ; elle porte toujours des talons. L’autre jour, elle m’a déclaré qu’en dessous d’un mètre 70, une personne n’est pas considérée.
    
    — Je sais ! Je suis en retard ! Madame Berthier ne me laissait pas partir.
    — Ce n’est pas grave. Regarde, il y a une table de deux près de la fenêtre ; je vais la prendre. Va te servir.
    — Marc, je savais que tu m’attendrais.
    
    Arrivés au dessert nous ouvrons « Radio-Langue-de-Pute ». Tu sais qui couche avec qui ? Tu ne sais pas la blague qu’untel a faite ? Etc. J’adore l’écouter, elle me fait rire ; elle devrait faire unone woman show ! Puis, thème récurrent, elle commence à me parler de Cloé, sa meilleure amie, presque sa sœur tellement leur amitié est fusionnelle.
    
    — Je suis presque sûre qu’Antoine, le mari de Cloé, la trompe.
    — Et comment tu le sais ; elle te l’a dit ?
    — Non, elle ne sait rien. Regarde ce que j’ai trouvé dans la poche d’Antoine.
    
    Elle me donne un petit dépliant rouge avec une superbe blonde aux longues jambes vêtue d’un minuscule bikini blanc dans une pause lascive. « Irène, rencontre discrète » avec un numéro de portable comme contact. En dessous, écrit à la main :
    
    « 28 juin, 21 heures, pavillon Bois Comeau… »
    
    — Il a rendez-vous avec une pute de luxe, me dit-elle.
    — Comment sais-tu que c’est une pute de luxe ?
    — J’ai téléphoné : elle demande 1000 euros la nuit ! Et quand elle m’a demandé où j’ai eu son numéro, j’ai raccroché.
    — Tu es folle !
    — J’ai téléphoné avec ...
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