1. Dernier récit (4)


    Datte: 12/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Bob-et-Annie, Source: Hds

    ... profondément et intensément. Ma chérie, par ailleurs, se faisait toujours belle pour lui, allant jusqu’à mettre de belles robes d’été, fleuries et légères laissant un large décolleté, et ses jambes dénudées.
    
    Domi a donc été, après moi, son troisième amant et peut être son quatrième si je compte le jour où je l’ai laissé seule avec un homme qui là encore avait trente ans lorsqu’elle n’en avait que vingt ou vingt-et-un.
    
    Ma belle, à bien la connaitre, pourtant, ne courrait pas les hommes. Non, jamais, elle n’allait vers eux pour faire le premier pas, et cela était une chance pour moi car je me disais ainsi qu’elle n’était rien qu’à moi. De mon côté, je n’avais absolument ni besoin ni envie d’aller voir ailleurs : Virginie était la plus belle fille du monde, sourire radieux, sourire ravageur ; parfum aux milles senteurs, de jasmins, de patchoulis, de lilas, de roses et que sais-je encore. Elle était belle et radieuse, toujours souriante, toujours joyeuse, pétillante de joie et de bonne humeur comme je sais que je ne retrouverais pas d’aussitôt. A en croire sa jeunesse et ses amies, elle était unique. Unique et belle à la fois. Et timide, surtout. Etrange destin que le sien. Cependant, si j’en reviens à son attrait pour les garçons, il est certain qu’elle était à chaque fois excessivement flattée d’être regardée et admirée. De toute part, elle voulait que l’on s’intéressât à elle comme si elle avait manqué d’affection dans sa jeunesse. Cela était peut-être dû au divorce de ...
    ... ces parents quand encore elle était enfant. Nul ne sait. Quoi qu’il en soit, elle aimait les hommes et ne se cachait pas pour me le faire savoir. Malheureusement, je ne compris au premier coup ce qu’elle voulut dire et c’est ainsi que je fus mis devant le fait accompli : ma belle prise chez elle par trois lascars, en gang-bang, à mon grand détriment.
    
    Je ne sais, par la suite comment j’ai pu accepter cela. Mais j’ai accepté ; et je suis donc resté avec ma belle au cœur tendre car chose étrange que certains ou bons nombres d’entre vous ne comprendront pas, ma belle était tendre et était une romantique dans l’âme, aimant coucher de soleil et diner aux chandelles. Nous étions, sur ce dernier point, sur la même longueur d’onde, et chaque fois que nous étions ensemble devant un coucher de Soleil, nos cœurs chavirait l’un pour l’autre comme deux tourtereaux ou bisounours, à jamais unis par leurs rêves et leurs idéaux.
    
    Virginie donc ne draguait pas. Jamais. Mais se faisait draguer et se laissait souvent assez faire pour peu que le type en face d’elle soit un tant soit peu beau ou attentionné (c’est le cas de Domi). Beau. C’était le cas de Bruno alias Nono. L’homme avait dans les 35 ans. Il faisait de la muscu et pour se défendre devant moi d’avoir succomber à ses charmes, ma belle me dit qu’il était bien trop fort pour elle. Ainsi, elle se fit sodomiser pour la première fois de sa vie dans la voiture d’auto-école, un matin de septembre ou d’octobre, à mon grand plaisir, car le ...