1. Manipulations


    Datte: 12/05/2022, Catégories: f, h, jeunes, copains, piscine, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation fdanus, uro, init, journal, initiat, Auteur: Franckosaurus, Source: Revebebe

    ... Je suis total frustré de ne pas savoir comment sortir de cette impasse. En fait si, je sais bien, mais j’ai une peur monstre, et je suis encore convaincu que le monde des adultes est rempli des subtilités qui ont peuplé les romans des grands auteurs du lycée. Elle non plus ne donne pas de signes pour que j’y aille, je ne les vois pas, ou peut-être ne veux pas les voir…
    
    Enfin bon, on sort de l’eau, moi d’abord, pour se sortir de cette impasse, et s’allonger côte à côte. Je suis bien content d’être à ses côtés aujourd’hui. Sur le dos, je lui tends ma crème à bronzer. Au moins ça, c’est une façon diplomatique et aisée pour ENFIN se toucher.
    
    — Allez, au boulot, Fafa !
    
    Elle sourit de façon gourmande.
    
    — Tu sais, que t’es pas mal ?
    — Pff, un gros ventre !
    — Bah, pas si gros, t’es juste un peu enveloppé, c’est pas déplaisant, tu sais.
    
    Elle me crème sobrement en souriant, je regrette de ne pas avoir enfilé un slip de bain.
    
    — Allez, à mon tour, allonge-toi ! Et si moi je suis pas mal, toi t’es…
    — … Pas mal aussi ?
    — C’est limite insultant. Non, franchement t’es superbe.
    — Mensonge.
    — Peut-être. En tout cas, tu me plais comme tu es.
    
    Parfois hein, les phrases bateau, ça marche : elle sourit. Clic-clac, elle décrochète son soutif’pour ne pas qu’il y ait de marques. Ses seins écrasés sur la chaise longue… Pas comme la veille, je m’applique bien sur sa nuque, ses dorsaux, puis ses lombaires. Ses soupirs satisfaits encouragent mes efforts. Ses cuisses, ses ...
    ... mollets, sont aussi amoureusement choyés. Elle relève ses pieds à hauteur de mon visage, par réflexe ? Peu importe, je les saisis pour les masser un petit moment. C’est dur de résister à l’envie de les lécher, de les gober. Cette fois-ci, nous sommes seuls.
    
    — Hum c’est bon, t’es doué.
    — Doué, je sais pas, inspiré, pour sûr ! (Je sens que je peux pousser plus loin, mais ça me fait grave peur, trop inhibé je trouve une excuse) Dis donc, t’as pas soif ? J’ai des Desperados au frais.
    — Bonne idée.
    
    Je reviens donc avec deux bouteilles, et la boîte à bédo. Je compte sur l’alcool et le cannabis pour décoincer cette situation. Je roule un joint léger, et là, pour la première fois, elle me demande de l’allumer, elle. Tiens, tiens, une initiative.
    
    — Mollo hein, Fafa, t’as pas l’habitude.
    — Je suis une grande fille maintenant.(Clin d’œil)
    
    On cause un peu littérature, mais j’arrête vite : pour elle c’est plus un passe-temps qu’une vraie occupation, elle lit du tout-venant, ça ne la passionne pas. Par contre, la musique est un dénominateur commun évident. S’engage alors un long débat sur nos goûts musicaux respectifs, elle très variétés françaises, mais pas que les tubes, ce qui est intéressant ; moi house, disco, soul, funk. En fait, c’est la première fois qu’on discute en tête à tête, sans autres témoins.
    
    — Au fait, ta première année seul à Toulouse, tu sortais ?
    — Ouais. Principalement au Shanghaï(l’institution gay-friendly de l’époque, hélas aujourd’hui fermée).
    — Mais… ...
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