Manipulations
Datte: 12/05/2022,
Catégories:
f,
h,
jeunes,
copains,
piscine,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
fdanus,
uro,
init,
journal,
initiat,
Auteur: Franckosaurus, Source: Revebebe
Précédemment : «Travaux d’approche »
Fabienne est la meilleure amie de ma sœur depuis le collège. Après des années de fréquentations prudes, l’été de nos vingt ans est arrivé. Ce dimanche, la demoiselle a envoyé discrètement quelques signaux troubles. Ce lendemain, lundi, je suis seul, et il fait toujours aussi chaud …
Lundi
Je suis de repos (comme souvent quand on est vendeur sédentaire), mes parents prennent leur déjeuner dehors et ma sœur est sur du 12/20 h. Personne avant cinq heures et demie. La matinée s’écoule en tâches ménagères diverses, de façon à libérer complètement l’après-midi. Ma sœur ne me parle pas du tout de Fabienne. Elle a dû remarquer certaines choses, mais l’évoquer serait assez malvenu. Elle s’en va vers 11 h 30. Déjeuner à base de restes de grillades de la veille, enfin je vais pouvoir me mettre à poil dans le salon, me rouler un bon gros pétard, et profiter de la télé familiale, branchée à la chaîne stéréo, pour voir Selen, Brigitte Lahaie & Co baiser sur grand écran avec un son 5.1 bien puissant. J’aime quand il y a des intrigues, de belles femmes pulpeuses, les longs cunnilingus, et les sodomies. Mais cette fois-ci, je suis plus attentif, espérant que je pourrais mettre tout cela en application avec celle qui, je l’espère, sera ma première amante. C’est donc une longue, très bonne séance, catalysée par l’évocation de ce que je pourrais faire avec Fabienne. Je termine en m’enfoutrant partout sur le torse. Vite essuyé, matos à branlette et à ...
... fumette rangés, je m’endors assez vite sur le canapé avec la sérénité du travail bien fait.
Je me réveille environ une heure plus tard, et me précipite tout nu, comme d’habitude, dans la piscine, le jardin est à l’abri de tout regard indiscret, et on est de culture naturiste dans la famille quand on le peut. À mi-chemin, surprise ! Fabienne ! Assise dans la chaise longue, dossier relevé, nimbée de soleil, dans le même bikini que la veille, un livre de poche à la main. Je me fige sur place, penaud, les mains protégeant mon entrejambe par instinct.
— Mais, mais qu’est-ce tu fais ici ?
— Eh bé, ton père y m’a bien dit hier que je pouvais venir quand je voulais, et donc… bé, voilà quoi !
— T’aurais pu appeler ! Ça s’fait pas !
— T’aurais pu mettre un maillot ! Ça s’fait pas non plus, hihi !
— … Sauf que je suis chez moi (et là je pense à Chabat dans Gazon maudit, récemment sorti), et chez moi, je me balade à poil, si je veux ! (faisant tournoyer popaul devant la belle)
— Hi hi hi bouudu, c’est vraiment trop horrible, allez, va t’habiller !
Dont acte, je file enfiler un short de bain, puis plonge directement dans l’eau fraîche. La belle m’y rejoint, en descendant l’échelle. Je ne rate aucune marche qu’elle descend. Comme hier, je suis sûr qu’elle se sent observée, elle prend bien son temps. Mais une fois dans l’eau, ben pas d’excuses pour se rapprocher l’un de l’autre. On se tourne autour, comme deux poissons rouges, effrayés l’un par l’autre, on s’occupe en nageant. ...