1. Découverte d'un étudiant (3)


    Datte: 12/05/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Coquine-Aur, Source: Xstory

    ... de faire bonne figure devant nos parents, et essayions d’être discrets, mais ils ne semblaient pas dupes. Même quand, rarement, Louise arrivait à mordre l’oreiller, mes coups de boutoir et ses gémissements ne devaient passer inaperçus pour personne.
    
    Quelque temps après, Louise, alors que je la léchais, entre deux gémissements, me demanda d’arrêter.
    
    — Lèche mon petit trou comme la dernière fois, s’il te plaît.
    
    — Tu as aimé ?
    
    — Oui, me répondit-elle timidement.
    
    Elle se plaça en levrette, le cul bien ouvert et m’invita à recommencer. Je ne me fis pas prier et je lapai son petit trou à pleine langue. Je tentai tout ce que je pouvais pour lui faire aimer ça, des gémissements de moins en moins timides virent me récompenser et je continuai mon œuvre. La langue dardée, je venais titiller l’entrée de son petit cul, tandis que j’allais flatter son clito qui ne demandait qu’à se joindre à la fête.
    
    Je ne lui laissai pas le temps de réagir et la pris en levrette en continuant à masser son petit œillet pendant que je la pilonnais. Ses cris commencèrent et elle jouit une fois, puis deux, puis à la troisième, je jouis sur ses fesses, avec une goutte sur sa rondelle.
    
    — Alors, tu as aimé ce que j’ai fait avec ma langue ?
    
    — Oui, beaucoup, avec ton doigt aussi, ne sois pas timide, je sais que tous les hommes rêvent de ça.
    
    — Sans doute, mais tu me connais, je ne souhaite le faire qu’à condition que tu le désires pleinement.
    
    — La prochaine fois, achète ce qu’il faut, ...
    ... j’aimerais que tu essaies un doigt ou deux, ta queue, je ne sais pas encore, tu es large quand même, me répondit-elle en caressant le pénis.
    
    — On le fera à ton rythme mon amour.
    
    Nous sombrâmes, blottis dans les bras l’un de l’autre, comme des amoureux, lovés dans un câlin tendre.
    
    J’achetai du lubrifiant dans une pharmacie loin de chez moi, histoire de ne pas que mes parents puissent discuter de ça avec le pharmacien, puis je le gardai avec moi pendant quelques jours jusqu’à ce que la semaine suivante, Louise me demande encore de la lécher devant et derrière. J’eus l’idée de la mettre au bord du lit pour lui lécher tantôt le minou, tantôt sa rondelle. Elle semblait adorer puisque ses gémissements m’encourageaient pour l’un ou pour l’autre de ses trésors. Je pouvais me délecter de son nectar, puis de son petit bouton, puis de sa rondelle frémissante. Je sortis le lubrifiant, et avec une noisette, j’entrai un doigt dans son œillet, sans forcer, lentement, jusqu’au bout.
    
    Louise gémit de surprise, puis lorsque ma langue reprit sa place sur son clito, m’encouragea à continuer. Je fis de lents va-et-vient dans son petit trou et je la sentis se liquéfier de désir par son minou.
    
    — Tu aimes ma chérie ?
    
    — Ouiiiiiiii, c’est trop bon, continue avec mon cul, s’il te plaît.
    
    Je sentais son anneau s’ouvrir, m’accueillant avec plaisir dans son orifice vierge. Elle en réclamait plus. Je la doigtais avec mes deux mains, deux doigts dans son minou, un derrière, alternant les ...