1. Une mère pas comme les autres... (34)


    Datte: 11/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: AlexisPC, Source: Xstory

    ... pas fallu plus de deux minutes pour amener la dernière à un orgasme ravageur également puisqu’elle le hurla dans la pièce alors qu’Aurore s’écroulait enfin d’épuisement sur le matelas.
    
    Tout était prêt pour le dernier round.
    
    Je relevais Aurore avec tendresse tandis que nos dernières invitées nous quittaient, non sans avoir posé une dernière fois leurs lèvres sur les nôtres en nous remerciant pour l’agréable moment passé en notre compagnie.
    
    Je pris Aurore sous le bras et quittait la pièce avec Antoine, laissant mes victimes seules quelques instants. J’avais besoin de boire un verre et de reprendre mes esprits avant de me lancer vers la fin du jeu.
    
    Nous bûmes ensemble une coupe de champagne fraîche tandis que Hans veillait à ce que personne n’entre dans la pièce durant cet intermède.
    
    Environ quinze minutes plus tard, je remontais avec Aurore, cette fois accompagné par trois gaillards solidement bâtis qui allaient m’aider à régler définitivement mes comptes.
    
    En entrant dans la pièce, je fus immédiatement refroidis dans mes ardeurs.
    
    Sylvie était tête basse. Manon hurlait de rage.
    
    Et Anaïs pleurait à chaudes larmes.
    
    Je me rendis compte que j’avais peut-être été trop loin, cette fois.
    
    Je me précipitais alors, sous le regard médusé d’Aurore, vers les trois femmes qui relevèrent la tête en voyant la porte d’ouvrir. Et je sus, à leur regard, que j’étais déjà pardonné.
    
    Elle voyait probablement ma détresse face à leur situation alors que j’avais juré ...
    ... qu’elles ne souffrirait pas physiquement.
    
    En enlevant le casque de la tête de Maman, elle me sourit.
    
    — Sylvie ? Ma chérie ? Mon dieu, qu’ai-je fait ?
    
    — Maître ! Rien de grave, mon amour. Ne t’occupe pas de moi et termine ce que tu as commencé. J’ai enduré bien pire avec ton père. Je t’aime Philippe.
    
    Je fus rassuré par sa franchise et son sourire. Puis je replaçais le casque sur ses oreilles.
    
    Je me tournais vers Anaïs à qui je retirais à son tour son casque.
    
    — Anaïs ? Ma chérie ? Comment te sens-tu ?
    
    Je trouvais cette phrase stupide à cet instant. Mais rien d’autre ne me venait à l’esprit.
    
    — Pourquoi fais-tu cela ? Me demanda-t-elle entre deux sanglots.
    
    — Parce que tu m’as trompé, bafoué, mentis et humilié.
    
    Visiblement, elle ne s’attendait pas à une telle réponse car elle ravala ses sanglots et m’offrit un pâle sourire. Mais elle me dit
    
    — Alors termine ton travail ! Et reviens-moi pour toujours.
    
    — C’est bientôt terminé, ma chérie. Je te le promets ! Ensuite, je serai tout à toi.
    
    Je posais mes lèvres sur les siennes et la renvoyais au silence.
    
    Je m’approchais de Manon. Je voyais bien qu’elle avait des envies de meurtre. Mais je tins bon en enlevant son casque.
    
    — ESPÈCE DE SALOPARD ! Hurla-t-elle.
    
    — FERME-LÀ, MANON ! JE NE TOLÉRERAI PAS QUE TU ME PARLES AINSI ! Crié-je en lui tenant tête, mon visage bien en face d’elle, mes yeux dans les siens.
    
    — POUR QUI TE PRENDS-TU, ESPÈCE DE CONNARD ?
    
    Je me tus un instant, fermant les yeux, ...
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