1. Une mère pas comme les autres... (34)


    Datte: 11/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: AlexisPC, Source: Xstory

    Depuis notre entrée dans ce club réputé de la Ville Lumière, et après la surprise de l’arrivée d’Aurore, mes compagnes vêtues de leurs parures et de leurs ors, avaient depuis compris que cette soirée serait particulière pour chacune d’entre elles.
    
    Maman, toujours à l’écoute et expérimentée, avait rapidement saisi toutes les nuances de mon plan. Anaïs, amoureuse mais encore un peu imbue de sa supériorité et de son expérience dans le sexe comparé à moi, n’avait rien vu venir. Et Manon ! Manon qui venait de me faire la plus belle des déclarations, subissait les affres de ma vengeance sans broncher, digne et drapée dans sa fierté comme dans sa beauté ravageuse.
    
    Mes trois compagnes de jeux étaient attachées confortablement à des anneaux dans le mur de la pièce que le propriétaire avait mis à ma disposition pour la soirée ou à une croix de Saint-André.
    
    Depuis plus d’une heure, elles subissaient des montées de désir et de plaisir octroyés par qui le voulait dans la salle sans que je ne permette l’extase et la jouissance à laquelle à présent chacune aspirait.
    
    Elles possédaient pourtant un mot code leur permettant de tout arrêter, de se libérer de mon emprise et de profiter pleinement de l’endroit pour enfin assouvir leurs fantasmes les plus fous. Car, dans cet endroit, le mot « tabou » n’existait plus. Mais j’avais visiblement parfaitement mené ma barque et aucune d’entre elles n’étaient en état de réfléchir objectivement. L’appel du sexe était à présent leur seul façon ...
    ... de penser. Et tout était tourné vers un seul but : le plaisir.
    
    De mon côté, avec l’aide de la ravissante Aurore, je profitais de l’instant pour me délecter de ses trésors merveilleux et de mon plaisir que je prenais un soin tout particulier à faire durer, sous les yeux ébahis et jaloux de mes compagnes habituelles, qui, de leur côté, ne pouvait que voir mon plaisir, soumises au thème de la soirée qui empêchait toute communication verbale avec elles. Elles portaient sur leurs oreilles des casques anti-bruits très efficaces dont le but unique était de respecter les habitudes de ce type de soirée en usant des sens sauf de l’un des plus importants dans le sexe, celui de l’ouïe. Ce thème de « sourdine » décuplait les autres sens, dont celui de la vue, pour leur permettre de ne deviner que mon plaisir ou celui d’Aurore sans en être parfaitement certaines.
    
    C’était tout simplement délicieux et permettait toutes les audaces verbales comme visuelles.
    
    Ainsi, je sentais, à cet instant, que mes trois compagnes commençaient à perdre de leur superbe. Les armures se fendaient peu à peu et leur résistance diminuait sensiblement. Plusieurs hommes et femmes s’étaient déjà succédés pour faire monter la température et humidifier leurs chattes offertes. Je savais qu’il était temps de passer à la vitesse supérieure si je voulais mener mon projet à bien.
    
    Aurore me regarda avec concupiscence, passant ses mains sur ses fesses et le long de ses hanches
    
    — Je suis en feu, Philippe ! Baiser ...
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