1. Série « Les voisins » Épisode 11 : « Claire » Baisée par un jeune métis.


    Datte: 09/05/2022, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Perruche, Source: Hds

    ... tête. Il commença à m’embrasser dans le cou. J’étais en extase. Sa main droite passa sous ma courte robe et remonta au-dessus du porte jarretelles pour caresser mon entrejambe. J’étais en ébullition, j’avais envie de lui dire qu’il me prenne tout de suite, sauvagement, cependant je me tus, ce n’était pas mon genre. Mes poignets toujours maintenus, j’étais à sa merci, j’avançais mon bassin afin que ses doigts s’insinuent dans ma fente, je mouillais fortement.
    
    Il m’embrassa une nouvelle fois, son corps s’appuyait contre le mien, je ressentais son érection. Il se recula et d’une rapidité incroyable, il dégrafa sa ceinture et descendit son pantalon, il remonta ma robe et écarta mon string mais juste avant qu’il me pénètre : « Mets un préservatif. » Lui ordonnais-je, avant de lui proposer d’aller chez-moi pour finir ce que nous avions si bien commencer : « Ils sont dans ma veste. Suce-moi alors, je ne peux plus attendre. » Doucement, langoureusement je l’avais sucé, ce n’était pas ma spécialité mais j’avais très envie de lui faire ce plaisir avant qu’il me rende la pareille à la maison.
    
    Il bandait très fort, il était, comme il l’avait annoncé, très excité car après quelques minutes seulement, il me demanda si j’avalais, qu’il allait jouir dans ma bouche : « Non ! je ne préfère pas. » Dis-je gentiment. Il se retira de ma bouche et éjacula une grande quantité de sperme sur le papier toilette que j’avais déroulé juste à temps. Nous nous étions embrassés de nouveau et lui dis-je ...
    ... de sortir en premier et de m’attendre à l’extérieur, le temps que je passe au vestiaire : « Nous finirons la nuit à la maison. » Il sortit discrètement de la cabine et me répondit : « Désolé, ma copine doit m’attendre. Merci à plus. »
    
    J’étais déciment maudite, dans l’état d’excitation dans lequel j’étais, ce garçon dont je ne connaissais même pas le prénom, m’obligeais à me masturber. Si physiquement cela m’avait soulagée un peu, moralement j’étais écœurée par le comportement de certains messieurs qui se foutaient bien de ma poire. À partir de là, je décidai de prendre mon destin en main, plus aucun homme ne me ferait souffrir. Plus le temps passait, plus je me demandais comment faisaient les bonnes sœurs : « Se masturbaient-elles ? Couchaient-elles en cachette avec les prêtres ? car pour le moment, les seules relations que j’avais, étaient avec mes sextoy. Au moins, ceux-ci ne me trahissaient pas et me procuraient le plaisir dont j’avais besoin.
    
    Au fil des années, mes pulsions sexuelles s’atténuaient mes enfants avaient grandi et je n’éprouvais plus le besoin de rencontrer un homme même si ceux-ci me courtisaient toujours. J’étais restée tant d’années sans qu’aucun homme ne couche dans mon lit, ni ailleurs, si vous voyez ce que je veux dire. Au printemps 2009, je m’étais faite une belle entorse en sortant du travail qui m’obligea à être immobilisée trois semaines dans un plâtre. Ma charmante voisine guadeloupéenne dont le fils métis travaillait dans les espaces verts, ...
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