1. Nymphomane, moi ? Tome II (3)


    Datte: 08/05/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... queue.
    
    Il ressortit ses doigts, il tenait toujours d’une main mon anus ouvert. Le gland violacé vint buter contre mon cul maintenant bien lubrifié et ouvert. Tout en me demandant si les petites boursouflures allaient me procurer autant de plaisir dans mon anus que dans mon vagin. J’essayai de me décontracter au maximum pour faciliter la monstrueuse pénétration. Il poussa doucement, mais avec force, le gland entra, une légère douleur commença à irradier mon anus. J’essayai de le repousser avec ma main. Il me saisit le bras et accentua sa poussée, je criai, mais le gland était entré entièrement. Il le ressortit, cracha sur la tête de sa bite et recommença l’opération, le gros rouleau glissa avec plus de facilité dans l’anus distendu. La douleur n’avait été que passagère. Maintenant, il entrait et sortait son sexe et à chaque fois, il gagnait un ou deux centimètres en profondeur.
    
    J’ adorai maintenant la sensation que me procuraient les petits boutons de chair qui à chaque passage frottaient délicieusement contre ma paroi anale, je n’avais jamais ressenti une telle sensation, même lors des sodomies précédentes.
    
    — Tu vois, c’est nettement mieux ! C’est plus étroit, j’apprécie mieux. Toi aussi hein, Trixie ! Dis-moi-le !!
    
    — Oui, continue, plus profond, plus vite... aaahhhhh, aaaaaaaaaaahhhh..... j’aime ta grosse queue...
    
    — Attends doucement, maintenant je suis moins pressé, tout à l’heure, il y avait une éternité que je ne n’avais pas éjaculé dans une aussi jolie ...
    ... chatte !! Putain ce que tu peux être bandante avec tes bas et ton porte-jarretelles !
    
    En disant cela, il me saisit à la taille, passa ses mains sous le porte-jarretelles, suivit les lanières.
    
    Il me lécha dans le dos, m’attrapant par les cheveux, me tournant la tête, il m’embrassa violemment, m’aspirant la langue. Son abondante toison pectorale me caressa le dos, cela ne me déplut pas. Je regardai Paul qui cette fois assistait de très près à cette baise sauvage.
    
    Puis il accéléra la cadence de sa pénétration. Ses couilles me battirent les cuisses, les poils de la toison pubienne me chatouillèrent les fesses. Je ne contrôlai plus mon bassin ni le roulement de mes hanches que l’ivresse m’imposait. L’énorme queue bosselée fit monter mon plaisir à toute allure. Je passai une main entre mes jambes et me caressai le clitoris. Ce fut un plaisir dévorant, prélude à mon orgasme qui arriva et je chavirai, un jet de foutre s’échappa de mon vagin.
    
    — Éjacule !!!! Éjacule... éjacule dans ma chatte... Je veux ton sperme au fond de moi...
    
    J’avais oublié qu’il ressemblait à un orang-outan tellement le plaisir qu’il me donnait était énorme.
    
    Je criai, les muscles de mon sphincter se contractèrent et enserrèrent l’énorme queue qui l’emplissait. Il me saisit les hanches dans un dernier spasme, il enfonça sa queue entièrement et se mit à éjaculer par de longs jets, qui le firent tressaillir à chaque fois. Je crus qu’il ne s’arrêterait pas de jouir. Puis haletant, il sortit son sexe et ...