1. Nymphomane, moi ? Tome II (3)


    Datte: 08/05/2022, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... et savais que ce n’était qu’un prétexte pour s’introduire chez moi, me sachant seule, et de profiter encore une fois de la situation pour éventuellement me baiser à nouveau, si je ne le repoussai pas. De plus, il avait entendu la dernière dispute avec mon mari. Vu sa gentillesse et son empathie envers moi. Je décidai de jouer le jeu, et l’installai à la table de la salle à manger. Au niveau de l’attribut sexuel, ce n’était pas Gérald, loin delà... mais... faute de grives, on mange des merles !!
    
    Il sortit ses papiers, je m’approchai et nonchalamment d’un geste naturel, appuyai ma main contre ma hanche, en posant mon pied sur le barreau de la chaise. La blouse s’écarta et dévoila ma cuisse et l’attache de mon porte-jarretelles. Le regard du vieux se porta aussitôt sur le morceau de chair dénudé. C’était comme si je donnai mon accord à ses désirs.
    
    Il approcha sa main tremblante, en m’observant, ne sachant s’il pouvait continuer. Je le regardai gentiment en souriant, il s’enhardit et la passa sous la lanière, caressa la chair offerte, remontant vers le haut de ma cuisse. La blouse s’écarta, dévoilant ma chatte. Il effleurera en tremblant ma fente bien rasée, je lui retirai la main, passai entre lui et la table et m’assis sur le meuble.
    
    Je déboutonnai sa chemise, la lui ôtai. Il se mit debout, attrapa ma tête qu’il plaqua contre les poils blancs de son torse. J’adorai le contact des poils d’un homme, j’ y frottai doucement ma joue, tandis que les mains du vieux ...
    ... déboutonnaient les boutons de ma blouse. Je le laissai me la quitter.
    
    Ses mains tremblantes de bonheur et d’excitation se plaquèrent sur mes seins et il les malaxa lentement. Je le repoussai doucement, lui quittais son pantalon et son slip et le fit asseoir sur la chaise.
    
    Je m’aperçus que la première fois, cet été, j’avais mal jugé la grosseur et la longueur de sa queue, après j’avais été trop accaparée par la grosse verge du noir. Elle était assez conséquente surtout pour un homme de son âge. Pour l’instant, il ne bandait pas. Je me mis à genoux devant lui. Je décalottai deux ou trois fois le gland, il commença à réagir, je me levai, il m’enlaça tendrement, frottant sa bite qui prenait de la consistance contre ma chatte.
    
    — Tu es belle, putain que tu es belle, je suis toujours ébahi par ton corps !
    
    Mes mains se posèrent sur ses épaules, puis descendirent lentement sur le torse flétri, elles s’attardèrent sur la verge, qui commençait maintenant était assez dure, saisirent et caressèrent ses bourses ridées.
    
    Il gémissait doucement. Posant un genou à terre, d’une main, je lui relevai le sexe, tandis que ma langue lui léchait les testicules qui se contractaient de plaisir. Puis je la fis remonter jusqu’au gland et je le mis dans ma bouche. J’avalai par petites saccades, entièrement le pénis du vieux voisin. Je commençai à le sucer, en le faisant ressortir de ma bouche et en l’avalant à nouveau, tout en frottant les pointes durcies de mes seins sur les cuisses ridées du vieil ...
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