Nymphomane, moi ? Tome II (3)
Datte: 08/05/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... encore durcis par la jouissance, j’allai entrouvrir légèrement la porte.
Aussitôt, deux mains velues se positionnèrent à mi-hauteur pour l’empêcher de se refermer, et la poussèrent fortement pour l’ouvrir plus largement.
Je résistai en vain à la poussée. La tête qui passa par l’entrebâillement était hideuse, le visage porcin au nez aplati était barré par une moustache abondante, une barbe noire couvrait ses joues, son crâne chauve luisait. Les oreilles décollées augmentaient la bestialité.
Il vit que je ne portais en tout et pour tout que des bas et un porte-jarretelles. Il enfonça presque la porte, me faisant reculer. Il devait mesurer 1,80 m et avoisinait les 110 kilos. Il était beaucoup plus jeune que mon voisin Paul. Il me détailla de ses petits yeux chafouins qui brillèrent d’excitation de me voir ainsi dévêtue.
Je reculai, ébahie. Je butai littéralement sur Paul qui referma ses bras autour de moi, et m’entraîna doucement vers le living-room.
L’intrus se retourna, se saisit une caissette pleine de légumes, qu’il déposa à l’intérieur de la pièce, puis referma la porte. Il s’avança vers nous.
— Bonjour, je suis Ludo, le fils du fermier à qui vous avez commandé ces légumes, mon père m’a dit de venir vous les livrer, il n’a pas pu venir !!
— Excusez-moi, j’avais complètement oublié...
— Je me suis permis d’insister, car j’ai vu votre voiture devant chez vous et le portillon était ouvert... Je suis entré, j’ai regardé par la fenêtre... C’était vraiment ...
... torride. Je n’ai pas voulu vous déranger, j’ai attendu la fin du spectacle... Eh bien... mon paternel m’a dit que vous étiez chaude... mais à ce point !! Vous aimez les vieux ? A ce que je vois... c’est certain ! Mon père soixante-quinze ans passés, et il n’arrête pas de tarir d’éloges sur vous !! Il m’a dit que vous baisiez foutrement bien... Et il a rajouté que pour le paiement de la facture... !
Ses yeux brillèrent de plus en plus de convoitise. Je me doutai de ce qu’il désirait, d’autant que son père m’avait dit qu’il voulait me présenter son fils. Je reculai lentement, m’assis sur le canapé. Paul, nu appuyé contre le mur, ne bougeait pas, sa queue comme son moral était en berne.
— Bon, je vous ai déposé votre commande, si vous êtes d’accord, on va passer au paiement !!
— Je... je ne sais... pas... si...
— Ntttttt, Ntttttt mon père m’a dit que vous payez comptant !
Il me regarda d’un air narquois et commença à se déshabiller, je pus ainsi « admirer » ses pectoraux poilus qui ressemblaient à une petite poitrine féminine, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis, qui partant de son sexe s’étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Ses épaules aussi étaient recouvertes de pilosité. Mais c’est son pénis qui me fascina. Il était en érection, il devait mesurer vingt centimètres, son gland décalotté mauve foncé était assez pointu, puis il s’évasait en une large corolle d’au moins cinq centimètres de long jusqu’à la ...