1. Souvenirs orageux


    Datte: 16/08/2018, Catégories: ffh, humilié(e), noculotte, Humour Auteur: Samuel, Source: Revebebe

    Nous étions encore fort sages à cette époque et un weekend-end passé chez les grands-parents n’offrait à ma sœur Yolande et à moi que les distractions rurales habituelles : cueillettes de fruits et légumes, soins aux animaux et couchers de soleil. Une cousine, nommée Rosine, venait elle aussi et s’occupait de la même façon des haricots à cueillir et des lapins à nourrir. Avec ses 19 ans, elle nous snobait un peu, considérait qu’à 17 et 18 ans, nous étions encore des enfants et que nous avions des jeux stupides. Un jour pourtant…
    
    Un jour pourtant, alors que nous avions fini nos besognes sans trop nous fatiguer, il restait quelques bonnes heures avant le fameux coucher de soleil, et du nôtre par la même occasion. Il faisait bien chaud et je proposai à Rosine et à Yolande de faire une promenade. Ma sœur refusa net et je m’attendis à la même vexation de la part de la cousine, quand elle accepta de bon cœur.
    
    Nous voici donc partis pour une longue balade. Rosine avait tendance à faire la morale et elle commença par me chapitrer assez sévèrement. Je laissais la porte ouverte quand je prenais une douche, je pissais à côté dans les W. C., je disais des grossièretés, je ne faisais pas assez de sport et surtout, disait-elle, j’étais impudique. Je ne sais pas où elle avait trouvé ce mot, complètement désuet dans mon vocabulaire.
    
    Je répliquai que tout cela n’était pas bien grave et je lui demandai de spécifier ce que signifiait impudique dans son esprit. Elle ne répondit pas ...
    ... et se mit à rougir. Il faut dire que nous menions la promenade bon train sous un ciel lourd. Elle changea, non de conversation, mais de cible.
    
    Ce fut ma sœur qui, sous prétexte qu’entre filles, on n’a rien à se cacher, se promenait nue dans la chambre qu’elle partageait avec Rosine. Ma sœur qui parlait des garçons avec des accents de garce. Ma sœur qui lui demandait des détails indiscrets sur sa vie sentimentale. J’allais me répéter et dire que tout cela n’était pas bien… mais la pluie nous surprit par sa soudaineté et sa violence.
    
    Nous nous sommes précipités sous un arbre, mais aussitôt Rosine me dit que c’est la dernière chose à faire en cas d’orage. Et elle reprit le chemin. Je la rattrapai et je m’aperçus que sa fine chemise ne cachait aucun soutien-gorge et épousait parfaitement la forme de ses seins qu’elle avait jolis. Elle se mit à avancer plus vite avec les bras croisés sur la poitrine.
    
    Marchant derrière elle, je compris vite qu’elle ne portait pas de culotte parce que le vent à plusieurs reprises avait rabattu sa jupe sur sa tête et qu’elle avait eu toute les peines du monde à la remettre à sa place, tant le tissu était mouillé et se collait à ses cheveux. Elle avait des fesses délicieuses et j’en étais ému.
    
    Une fois le calme revenu, je trouvai un malin plaisir à mettre de la curiosité dans mes questions. Je lui demandai pourquoi, elle qui faisait tout le temps la morale, se promenait à poil sous ses jupes. Elle faillit me gifler. Je lui dis que je ne ...
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