Ce qui se cache derrière un mot.
Datte: 05/05/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Iovan, Source: Hds
... instantanément, le résultat... et j'appris que ce terme japonais désignait le fait de mouiller, tremper quelque chose... ou quelqu'un.
Je cliquai sur un ou deux autres liens, et tombai sur une vidéo, où l'on voyait une jeune fille nue, allongée sur un matelas douteux, entourée d'une horde de types en érection, qui se masturbaient, et l'aspergeaient de leur sperme, pendant que d'autres la baisaient à tour de rôle. Il ne me fallut que quelques dizaines de secondes, pour me sentir mal à l'aise, et j'abandonnai, vaguement écœurée.
Je me mis à surfer sur le Net, cherchant d'autres renseignements, pour le boulot, mais je n'y étais pas, j'avais l'esprit ailleurs. Je n'arrivais pas à me concentrer, et faisais n'importe quoi.
En fait, je le savais, je ne pouvais me détacher de cette histoire de bukkake, et, quoi que je fasse, ces images me revenaient en tête.
Je revins donc sur cette page, et regardai la vidéo jusqu'au bout.
Ce qui me frappa chez la jeune femme fut que, objet de la convoitise de tous ces hommes, elle semblait ne ressentir aucun stress ni sentiment de crainte. Son visage, couvert de larges gouttes grumeleuses et de rigoles de sperme, qu'elle ramenait parfois du plat d'un doigt, à sa bouche et qu'elle avalait, était détendu, elle avait un beau sourire, doux et calme qui s'effaçait parfois. Elle se mordait alors la lèvre, quand elle n'avait pas la bouche occupée, avec un froncement de sourcils, un profond soupir, ou un râle, témoignant de l'intensité de ...
... ce qu'elle éprouvait, puis retrouvait son expression angélique qui, à nouveau, comme le fait l'ombre des nuages, laissait place à une de ces expressions, quasi douloureuses, que provoque, chez nous, une violente montée de plaisir.
C'était le visage d'une femme qui jouissait intensément. Je la trouvais belle.
C'était le seul visage qui apparaissait, tout au long de cette vidéo. Il n'y en avait aucun autre. On ne voyait des hommes, que ce qui représentait la seule fonction, à laquelle ils étaient réduits : leurs sexes et leurs testicules.
Est-ce que cette dualité était au centre des préoccupations du « metteur en scène » ... ? J'en doute fort, mais je trouvai ce détail fort intéressant.
Une scène me frappa, sans que je comprenne immédiatement ce qui m'interpellait : au tout début de la vidéo, comme pour d’hiératiques préliminaires, une multitude de mains couvraient, dans une caresse collective, le fragile corps nu, offert. C'était beau.
Je visionnai, une deuxième fois, cette vidéo, faisant des arrêts sur image, pour observer un détail qui m'avait échappé, réécouter un bruit.
A mesure que la vidéo défilait, il me paraissait évident que cette fille s'éclatait, qu'elle prenait un pied monstrueux.
Je me déshabillai, pris une douche rapide, enfilai un T-shirt, et me mis au lit.
Je pris mon bouquin, un polar venu du nord, qui au départ, m'avait accrochée, mais on était vite tombé dans les clichés, et la recette, et ce pur produit mercantile, de la littérature ...