Une si bonne leçon !
Datte: 04/05/2022,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
cadeau,
voisins,
fsoumise,
cérébral,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
pénétratio,
coprolalie,
init,
Auteur: Lacducoucou, Source: Revebebe
... sperme.
Elle s’accrocha comme une furie à son partenaire lorsque celles-ci l’inondèrent. Elle hurla de plaisir.
Un peu plus tard :
— J’aurais jamais cru que pour une novice tu étais aussi douée, lui dit-il en lui caressant la chatte.
— J’aurais jamais cru, Maître, que tu apprendrais si bien la baise à une novice. Tu as été au-delà de mes espoirs les plus fous.
— Je vois un avant et après. De l’obscurité à la lumière. La chenille pudique et réservée est devenue un magnifique papillon. Je ne comprends pas le miracle et la brutalité d’une telle transformation. Il existe à coup sûr une fée qui t’a donné un coup de« braguette magique »
— La fée c’est toi. Tu es mon héros ! Je voulais que ce soit avec toi, et tu l’as fait ! Je te préviens, j’attends déjà la prochaine leçon. Oui, continue de me branler…
Le doigt du maître poursuivit son travail de sape.
— Il va falloir qu’on cause un peu. Tu connais notre différence d’âge ? Tu te rends bien compte que nous n’avons pas d’avenir en commun.
— Ça j’avais bien compris et je n’attends rien de ce côté-là.
— Tu me rassures.
— Par contre, salaud, tu n’en as pas fini avec moi. Tant que je n’ai pas de copain attitré,« Et peut-être même après ? », j’attends que tu m’ouvres les cuisses, que tu me bouffes le cul, que tu me défonces la chatte et me gicles du sperme partout. Sois le Maître et je serai ta servante docile. Tu resteras pour l’éternité gravé dans mon esprit.
— Je pourrais même t’enculer ?
— Enculer ? C’est… ah ...
... oui… comme le doigt. Si ça ne fait pas mal, expérience à tenter. Ce serait un bon programme pour une prochaine fois. Tu m’enculeras, salaud ? Maître, je te prends au mot. Tu dois tout apprendre à ta bonne élève, elle veut tout savoir.
Elle se cambra pour jouir lorsque le doigt l’acheva.
**********
Le soir, sous la couette, elle se masturba avec frénésie en repensant aux évènements de la journée. Cette queue si dure, si bonne en bouche et ce sperme si délicieux qu’elle avait avalé. Cette minette qui l’avait assassinée, et ensuite, ce mandrin dans sa chatte qui la pistonnait en la rendant folle. La bite de tous les plaisirs.
Il avait agi avec elle comme elle le voulait depuis des mois, elle avait été une pauvre petite chose volontairement soumise, et pour son plus grand plaisir, à la bestialité et à la brutalité d’un vit conquérant.
Elle se voyait Sisyphe sur un vit comme un rocher et sur lequel elle grimperait inlassablement.
Elle sombra dans le sommeil.
Un délicieux cauchemar la visita.
Avant qu’elle ne le quitte avec les framboises, il l’avait à nouveau prise bestialement, à l’atelier, la violant en levrette, la poitrine écrasée sur la table, à côté des cagettes, la remplissant de foutre.
Elle l’entendit l’apostropher avec un flot d’obscénités qui comblèrent sa libido :
« Je vais te casser le cul, salope… te défoncer le con… ma bite va te tuer la chatte… tu le sens, mon nœud ?… tu l’aimes quand il te pilonne ? Jouis ! »
Avant de s’endormir, le ...