Une si bonne leçon ! - Histoires de Sexe

Une si bonne leçon !

... châtain, aux lèvres charnues et bien dessinées. Un mont de vénus bien bombé, tombant sur un écart entre les cuisses. Divine vision ! Et pourtant, de prime abord, on aurait donné à la demoiselle le bon dieu sans confession. Que de trésors peuvent ainsi rester cachés trop longtemps ! Il était émerveillé, elle s’en rendit bien compte. Et elle était transportée par le pouvoir qu’elle se découvrait. Lui n’en revenait pas : de quoi figer le pendule sur midi et tirer douze coups d’affilée… (Au moins ! ).

— Les mots crus, tu connais ?
— Euh… oui, j’en ai lu, mais j’en ai peu entendus.
— Ça te gênerait si je t’en disais ? Ça te choquerait ?
— Je ne sais pas, je ne pense pas. Et ça doit être excitant à entendre ?
— Écoute bien : ton con est magnifique, il est fait pour la bite. Tu as un trésor entre les cuisses, il va falloir que je t’apprenne à t’en servir pour baiser. Tu veux bien ?
— Oh oui, et que ce soit vous qui me l’appreniez, j’en ai rêvé tant de fois.

Sa main accompagna l’hommage. Elle était paralysée, suspendue aux doigts habiles qui flattaient sa peau nue en caresses insidieuses. Il tourna la paume vers le haut et ses doigts remontèrent dans la vulve. Son majeur s’immisça dans la fente et buta sur le clitoris autour duquel il entreprit une caresse circulaire.

— Tu te branles parfois, je suppose ?

Dans un souffle :

— Oui… en cachette.
— Et tu adores ça, n’est-ce ? Comment tu te branles : du bout du doigt ou avec des doigts dans la chatte ?
— Les… les ...

... deux…
— Mais tu n’as jamais été branlée par un homme ?
— Non.
— Ça te dirait d’être doigtée par un homme qui sait s’y prendre ?
— Oui… Maître… oui, allez-y…
— Tu peux me tutoyer. Ouvre encore tes cuisses… là… bien…

Il lui titilla le bouton du bout du majeur. Elle crut défaillir. Sa respiration s’accéléra et se fit sifflante. Le phénomène s’amplifia lorsqu’avec l’index et le majeur de l’autre main, il pénétra la fente pour entreprendre de lents mouvements de va-et-vient.

— Ça tu aimes, hein, dis-le, que tu aimes.
— Oh oui… c’est bon… c’est booon… oh que oui… tu…. j’aime.

Son bassin s’agita. Cela devenait insupportable, elle avait du mal à se maîtriser. Elle découvrait un plaisir tel qu’elle aurait voulu que jamais il ne s’arrête.

Lui, légèrement courbé, avait accéléré ses mouvements de piston. Ils devenaient de plus en plus forts dans les chairs délicates et gluantes. Le feu d’artifice final se déclencha sans prévenir, lui explosant le ventre. Elle cria et resserra ses cuisses, coinçant les doigts comme dans un étau. Yeux révulsés, elle était ailleurs…

La tension retomba petit à petit.

— Je n’ai pas vu ta poitrine, dit-il, redresse-toi.

Elle s’assit avec son aide. Le tee-shirt connut le sort de la culotte. Il passa les mains dans son dos et défit son soutien-gorge, le lui enleva et admira cette poitrine jeune et ferme.

— Tu n’as pas seulement un beau con, mais tu as aussi de beaux nichons. Tu es sensible des seins ?
— Oui… beaucoup…

Il se coucha ...