Divine compagnie (4)
Datte: 01/05/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... tendrement avant que mes deux petite coquines ne retournent se laver ensemble.
Dans le salon, Agate avait son visage sur la cuisse de Pascal. Martine me regardait venir, m’assoir tout contre elle. Comme mes deux anges, cette femme m’attirait par son physique. Je me mettais à la caresser, l’embrasser, la masturber avec amour et tendresse. Je la couchais pour lui lécher son sillon d’amour. Elle devait jouir de mes attouchements. Je la possédais, concentré sur mon érection que je voulais longue afin que Martine puisse jouir plusieurs fois. Devant son mari, je l’aimais longuement. Elle devait jouir plus d’une fois avant que je ne jouisse à mon tour. Oh je ne la remplissais pas de mon sperme, il ne m’en restait pas une goutte.
Bien plus tard, après un dernier verre, je guidais mes deux charmantes dans notre chambre. Cette chambre qui pourrait devenir notre d’ici quelque temps. Nous n’avons pas tardé à sombrer. La journée avait été riche en orgasme en tout genre.
Il devait se passer quelques séjours chez Pascal ...
... avant que nous ne débarquions avec armes et bagages. Si je continuais à dessiner mes chalets pour de riches clients, je dessinais aussi les meubles de contraintes pour Pascal. D’un côté, mon patron me versait un excellente salaire, de l’autre, en guise de salaire, j’avais quatre femmes à ma disposition. Je n’en oubliais pas les amies, celles qui viennent, chaque jour de la semaine, confectionner les cravaches et autres instruments de douleur.
Toutes s’étaient déclarées, auprès de Pascal, comme étant de dociles épouses en manque de bonnes queues pour les bourrer. Alors pourquoi tergiverser quand on peut choisir l’une ou l’autre, la baiser et l’obliger, un bien grand mot, à tester ces instruments sur leur corps qu’elles m’offrent. Ces gourgandines sont toutes mariées et, pour une majorité, mères de famille.
Pascal ne se gêne pas quand il a envie d’en baiser une. Alors autant en profiter et faire coup double en les rendant heureuses !
Alors, je vous le demande, parfois, n’est-elle pas belle la vie ?
Fin.