1. Divine compagnie (4)


    Datte: 01/05/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... reconnait sa défaite, il me dit :
    
    — La vache, t’as gagné mon gars. Bravo ! Mes femmes, superbe idée que vous avez eue.
    
    — Ça va ma chérie, t’as aimé ?
    
    — Oh que oui mon chéri. Là, je me sens des ailes pour aller plus loin encore.
    
    — Le chien ?
    
    — Ben oui, me répond ma douce Alexia en baissant les yeux.
    
    Je relevais sa tête pleine de pisse et l’embrassais à pleine bouche en massant sa mignonne petite chatte.
    
    — Tu sais, j’étais très heureux le soir où t’es revenue dans le parc, ma belle.
    
    — Et moi de t’avouer ce que j’avais fantasmer sur toi.
    
    — Merci pour ton amour, ma chérie. Et toi, ma belle Caroline, heureuse ?
    
    — Et comment, je gagne sur toute la ligne. Toi, pour commencer et mon père. Mais si je devais en choisir qu’un, c’est toi. Maintenant je sais que je ne risque qu’une chose avec toi, jouir. Comme te l’a dit mon amour, je t’aime et du même amour que pour Alexia, ma douce compagne. Dis, t’étais sérieux en donnant ton accord à mon père ?
    
    — Ben pourquoi, ça ne te plairait pas de vivre ici ?
    
    — Ben maintenant… en fait, j’avais peur en arrivant ici. Mais depuis, je me suis sentie emportée dans mes fantasmes.
    
    — Tu sais que tu dois sucer le chien de ton père après.
    
    Caroline prit une mine renfrognée avant de me sourire et de me déclarer :
    
    — Et tu crois que je vais me défiler maintenant que je t’ai trouvé, que tu m’as libérée de mes angoisses, de mes peurs. Ça non, je suis comme Alexia, j’ai envie d’aller plus loin et par amour pour toi ...
    ... si tu veux tout savoir. En fait, j’ai envie de vous appeler Maître, mon amour d’homme.
    
    — Maître, mais…
    
    — Ne te demande pas pourquoi, accepte, mon gars. C’est si rare une femme qui décide d’être ta soumise et de ne plus vouloir que votre bonheur à tous les trois. Regarde-moi, avec mes femmes, je vis un rêve que peu d’homme et de femme vivront un jour ailleurs que dans leurs rêves. Me fait Pascal, sa main sur mon épaule.
    
    — Et toi, mon amour ?
    
    — Maître, comme l’a dit Caroline, je me mets à vos pieds. Je ne veux plus être qu’heureuse avec vous et Caroline.
    
    La messe était dite. Je faisais involontairement un calcul pendant que Pascal emmenait Caroline sucer son chien. Avec Alexia, presque une années s’était écoulée depuis cette première nuit dans le parc. Avec Caroline, cela faisait à peine quatre jours. Et encore, en comptant large. Devant Caroline, Pascal arrivait avec le chien. Il bandait déjà devant cette sublime femme. Caroline me fixait, fixait Alexia. Elle se mettait à genou devant le chien. Elle se penchait, caressant la bite du chien. Elle ne tardait pas à se tendre davantage.
    
    Caroline reçut l’ordre de sucer sans tarder. Penchée, appuyée sur une main, elle engloutit ce vit jusqu’à son nœud, ce renflement sur la bite du chien. Pascal m’invitait à posséder sa fille. Je lui montrais ma bite toute molle, il comprit que je ne pouvais plus pour le moment. Cela dit, j’avais encore mes mains et ma bouche. Aussi, je me mis à caresser Martine et Agate. Alexia se ...