Olivier s'abandonne (2)
Datte: 01/05/2022,
Catégories:
Gay
Auteur: ElodieG12, Source: Xstory
... d’érection avec mon pénis, par contre ma prostate se gonfle et réclame des pénétrations larges et profondes. Ma glande aime se faire brutaliser et me le rend bien en me donnant des orgasmes fantastiques. La combinaison de mon anus, mon rectum et ma prostate m’ont transformé, c’est vrai, en véritable salope à enculer encore et encore. Me faire défoncer le cul et me le travailler avec tout ce que j’ai pu trouver à me fourrer dedans a aussi développé la sensibilité de mon intestin.
Me faire masser jusque-là, pousser ma fascination pour mon cul à me faire défoncer de plus en plus profondément, ouvrir encore davantage l’entrée de mon trou à l’aide d’objet de plus en plus large... Qui sait pourquoi c’est si bon de se faire ramoner le boyau ? Chaque millimètre que constituent mon anus, mon rectum et mon intestin me le réclame depuis que j’ai l’âge de raison...
— Tu as une peau très douce. Tu es parfaitement et définitivement épilé. C’est un travail de professionnel ! Qui prend soin de ton si joli petit corps Olivier ?
— Ma tante.
— Ta Tante ?
— Oui. La sœur ainée de ma mère. Elle est esthéticienne. Quand mes parents ont deviné ce que j’allais devenir, une fiotte selon eux, ils m’ont rejeté et je suis parti vivre chez ma tante. Elle ne s’est jamais mariée. Mes parents la traitaient de sale gouine et pour cause... Elle m’a élevé et encouragé à m’aimer tel que je suis.
— Oh, mais c’est un conte de fées, très excitant ! Elle t’a aussi appris à te toucher, elle te ...
... faisait l’amour, je suppose ? Raconte-moi s’il te plaît. Si tu en as envie. Sache que je ne veux te forcer à rien faire que tu n’aurais pas envie Olivier. Mon plaisir c’est de te voir t’abandonner à ta sensualité, te voir te perdre dans ta volupté...
Et me soufflant ces mots doux, il glisse sa main sur mon sexe de garçon, glissant le long de ma fine cuisse et presse mes ridicules petits testicules contre mon pénis, ramassant l’ensemble en boule dans sa main. Il presse mes attributs de plus en plus fort, maintient la pression jusqu’à me faire gémir d’un plaisir délicieux : ouvrir mes jambes pour lui permettre d’approfondir sa caresse et me laisser tomber dans mon fantasme le plus puissant, la castration. Faire disparaître ce semblant de masculinité. Je rêve de subir avec tout mon consentement l’ablation de mes inutiles testicules, ne garder que mon tout petit pénis pour faire pipi et surtout voir s’écouler ma jouissance prostatique quand je me fais défoncer, exploser les fesses.
Il le sait, il me connaît si bien que ça me chavire. Le vertige est incroyable, car nous le partageons tous les deux.
Plus il sert plus mon trou s’ouvre, réclame sa présence. Je voudrais qu’il m’empale là, devant tout le monde. Qu’il m’envahisse l’intérieur avec sa main, son bras, jusqu’au coude...
— Oui Marc, serrez plus fort s’il vous plaît... Ecrasez mon sexe avec votre main... Explosez mes petites couilles en les giflant, à coups de poing, j’ose lui réclamer, des larmes de souffrance ...