Olivier s'abandonne (2)
Datte: 01/05/2022,
Catégories:
Gay
Auteur: ElodieG12, Source: Xstory
— Quel âge as-tu ?
— 18 ans.
— Tu es sûr ? Tu fais beaucoup moins ? J’aime les bons garçons comme toi, mais je ne suis pas pédophile. Tu veux bien me montrer ta carte d’identité ?
— Oui bien sûr. Je ne peux pas prendre ce car et voyager seul si je ne suis pas majeur ! Et vous, comment vous appelez-vous ?
Il vérifie ma date de naissance et me rend ma carte avec un sourire magnifique, visiblement très satisfait.
— Marc. J’ai 50 ans et suis célibataire. Je suis très heureux de faire ta connaissance cher Olivier. Les très beaux garçons comme toi sont assez rares...
Je suis brun. 1m65, 40kilos. Oui je suis joli garçon c’est vrai. Je prends beaucoup soin de mon corps. Je m’aime aujourd’hui. J’ai souffert par le passé de mon physique si gênant quand on naît « garçon »... Tellement fin, chétif, troublant... Mais j’ai appris à m’aimer tel que je suis.
— Merci. Vous êtes un très bel homme. Moi aussi je suis content de vous rencontrer. J’ai l’impression que vous me connaissez par cœur...
En disant ça, je sens mon corps se rallumer.
Il voit mon regard se voiler, se penche sur mon visage et m’embrasse à nouveau. Comme ses baisers sont bons... Sa langue fouille chaque recoin de ma bouche et lèche, suce, aspire ma langue délicieusement. J’avale encore et encore sa salive qui semble couler jusque dans mon cul... Il le devine, plante ses yeux dans le mien et demande :
— Comment peux-tu avoir un cul si gourmand, accueillant et sensible à ton âge ? Depuis quand te ...
... fais-tu défoncer pour être si ouvert ?
Ses mots me donnent le vertige, j’adore sa question, je mouille davantage, rien qu’à penser à ma réponse :
— Depuis toujours. J’en ai besoin. Je me touche par derrière depuis tout jeune.
— Tu as un trou à aimer follement. J’ai envie de t’aimer follement mon cher Olivier.
Il passe sa main droite sous mon T-shirt, saisit mon téton et le pince puis le tord de droite à gauche avec une savante brutalité sensuelle qui en dit long sur son expérience amoureuse avec les garçons comme moi.
— Tu as une très belle poitrine, j’adore tes mamelons, ils me donnent des idées pas possibles, tu sais... J’aime qu’ils soient si réactifs, si sensibles. Ils te donnent beaucoup de plaisir n’est-ce pas ?
Dit-il en appuyant de plus en plus fort...
Oh oui je sais, du moins je devine et je ressens ces idées jusque dans mes reins, au plus profond de mon cul... C’est si bon ses doigts qui me triturent, me torturent mon bouton.
Je sens ma prostate qui palpite, réclame les mêmes traitements...
— On va attendre qu’il fasse nuit et je vais te baiser. Si tu me le demandes bien sûr. J’ai très envie de te découvrir à l’intérieur avec ma bitte. Je veux remonter dans ton intestin. Te pénétrer jusque dans ton boyau mon petit Olivier chéri.
Je défaille, me sens couler, mouiller de partout... ma bouche qui se remplit de salive, des aisselles, de mon trou et même de ma nouille d’où s’échappe le désir de ma prostate en « érection »... Je n’ai jamais ...