Camping pour deux
Datte: 16/08/2018,
Catégories:
hh,
vacances,
facial,
Oral
tutu,
inithh,
Gay
Auteur: BiMarié, Source: Revebebe
... contentés que d’effleurements discrets, de touchers relativement anodins, nos mains deviennent bientôt beaucoup plus baladeuses, entreprenantes, curieuses. Ma gorge se resserre, ma salive s’épaissit, je comprends bien que c’est la peur qui me gagne en même temps que je commence à frémir et que mon rythme cardiaque s’accélère. Je te vois aussi douter quelque peu. Ne nous retenons pas, mon beau, que je me dis en moi-même. Continuons, je t’en supplie.
Je me ressaisis, je ne vais pas commettre d’horreur ; je ne vais pas tromper ma femme avec une autre. Je ne vais au fond que partager d’agréables moments entre hommes comme tant d’autres avant nous l’ont fait et tant d’autres après nous le feront aussi. Voilà !
Jamais je ne tromperai ma conjointe avec une autre femme. Par contre, comme elle ne m’offrira jamais ce qu’un homme peut m’offrir, et que je sais pertinemment qu’aucun d’entre eux ne lui volera jamais mon cœur, je m’abandonne bientôt à l’étreinte bien virile de mon amant. D’ailleurs, comme elle me l’a déjà dit, si elle ne le sait pas, cela ne la dérangera pas. Ce n’est ni toi, ni moi qui le lui dirons, trop heureux que nous sommes de profiter de toutes ces délicieuses caresses.
Ce soir, je m’apprête à prendre du plaisir auprès de mon partenaire et je compte bien lui offrir autant de satisfaction qu’il voudra bien en retirer de cette expérience. Je nous sais alors en symbiose, en synchronisme, et je constate d’ailleurs rapidement à quel point je n’avais encore ...
... jamais pu être stimulé avec autant de synchronicité que mon ou ma partenaire. C’est incroyable ! C’est fascinant de constater comme nous grimpons les paliers avec une telle harmonie.
Je sens le désir nous gagner en même temps comme s’il était dicté par un diapason. L’effet est euphorisant. Je voudrais que l’on ne me prive jamais de cette sensation même pour tout l’or du monde. Tandis que tu presses la paume de ta main entre mes jambes pour caresser ma queue, je ressens la tienne qui gonfle en même temps au creux de ma main. Phénoménal ! L’ascension est parfaite.
Nos regards évitent de se croiser un moment, la gêne nous habite encore un peu, mais peu à peu nos gestes deviennent de plus en plus précis, directs, érotiques. La tension, quoique palpable, n’en est pas moins enivrante et stimule nos échanges qui gagnent en ferveur. Nous demeurons silencieux dans la nuit, échangeant maintenant des baisers qui feraient fondre des glaciers tant ils sont devenus enflammés. Notre souffle s’accélère. Au bout de quelques minutes à jouer ainsi, nous échangeons un long regard de connivence et je ressens l’envie de me laisser aller.
Je repose délicatement mes lèvres contre les tiennes et je mets dès lors une attention particulière à chatouiller tes lèvres du bout de ma langue. Le doux contact de tes lèvres humides m’électrise et, tout en prenant mon temps, j’enfonce alors la pointe de ma langue au creux de ta bouche afin de t’offrir le plus intense des baisers. Je te sens frémir de ...