1. Martine s'exhibe dans un strip torride (4)


    Datte: 30/04/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: pierre-rene.delatour, Source: Xstory

    ... rasade de foutre provoquant chez les deux partenaires un long gémissement de plaisir. Pierre attendit quelques secondes, le pénis bien enfoncé au fond, pour profiter et faire profiter la pouliche d’un orgasme total et libérateur. Après s’être extrait de la vulve comme avec regret, il reprit alors place sur le sulky, donna un dernier coup de cravache généreux à sa monture pour redémarrer, qui ne lui tira même pas un petit cri, se contentant d’obéir à la sollicitation. Martine devait être anesthésiée par la violence de l’orgasme dont elle venait à peine de sortir.
    
    Pierre continua paisiblement le circuit et à l’arrivée au but, il tira les deux rênes et l’attelage s’arrêta. Descendu du sulky, il se désintéressa alors totalement de la pouliche.
    
    Cette fois, Martine s’allongea sur le ventre, à même le sol carrelé pour se reposer. Elle devait récupérer plus pour les deux énormes saillies qu’elle venait de subir que pour la course, car de ce côté, Pierre l’avait ménagée, à part le coup de cravache vachard qu’il lui avait porté au début du circuit. La marque laissée alors faisait apparaître maintenant une trace tirant sur le violet en relief sur une dizaine de centimètres ressortant de la couleur rose couvrant presque uniformément l’ensemble de la croupe. Le cul de Martine devait lui chauffer.
    
    Avant que les dix minutes ne soient écoulées, Martine se remit à quatre pattes, prête à un nouveau circuit. C’est moi qui pris les rênes.
    
    Quelle sensation de se trouver ainsi assis ...
    ... sur cette petite carriole attelée à une femme, ma femme, à quatre pattes, le cul tout rose orné d’une queue, la chatte rougie et gonflée par les assauts de l’étalon précédent, dégoulinante de diverses liqueurs qui collent les poils du périnée au pubis. Martine n’avait pas encore, malgré tout ce qu’elle avait déjà subi, manifesté sa volonté d’abandonner.
    
    Je décidai donc de ne pas la ménager non plus et je lui balançai un coup de cravache violent en me penchant le plus en avant de manière à ce que l’extrémité de cuir claque sur le haut de la fesse et qu’en même temps, le manche du fouet frappe la partie la plus charnue.
    
    La pouliche poussa un grand cri, mais se mit en route quand même, malgré la douleur qu’elle a dû ressentir. Une autre trace blanche commença à marquer l’endroit où le manche avait frappé la fesse, presque parallèlement à la première marque laissée par Pierre.
    
    Au niveau du premier obstacle, je négociai mal le virage en tirant trop vite sur le sein gauche, et si je continuais ainsi, j’allais renverser le cône avec la roue gauche. Je tirai donc les deux seins pour stopper l’attelage, puis par petites tractions simultanées sur les deux rênes, je fis reculer la pouliche d’un bon mètre pour ensuite la faire redémarrer par un coup de cravache modéré cette fois, tout en tirant sur le sein droit pour passer plus à l’écart du cône, puis tirer à nouveau sur la gauche pour tourner cette fois correctement autour de l’obstacle. Cette mise à contribution des seins dans ...
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