1. Martine s'exhibe dans un strip torride (4)


    Datte: 30/04/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: pierre-rene.delatour, Source: Xstory

    ... sur les coudes en attendant la saillie. Heureusement, la vulve était encore bien trempée du rapport précédent, car il s’agissait maintenant de recevoir l’engin de Pierre. Celui-ci appuya les paumes de ses mains sur les fesses et les écarta, séparant ainsi les grandes lèvres, décollant les petites lèvres en ouvrant du coup l’entrée du vagin dans lequel il introduisit son gland puis, soulevant d’une main la queue, il poussa lentement pour faire disparaître complètement son sexe, accompagné d’un râle continu de la femelle ainsi saillie. La lubrification étant parfaite, les allers-retours se faisaient en douceur. La pouliche émettait sans cesse un bruit indéfinissable illustrant peut-être un mélange de plaisir et de souffrance, car maintenant, à chaque poussée, le membre touchait assurément le fond du vagin. En tout cas, Martine n’avait certainement jamais été remplie de cette façon.
    
    Pierre, pas plus que Jean, ne voyait plus en Martine qu’un objet sexuel vivant auquel on ne demande pas son avis et que l’on peut utiliser sans limites. Ils avaient également perdu de vue que cet objet sexuel n’était autre que ma femme. Il faut admettre que moi-même, j’oubliais que la pouliche ainsi baisée, osons le dire, cette pute soumise à autant d’humiliations consenties, était mon épouse. Oublier n’est d’ailleurs pas le mot, je ressentais plutôt un plaisir intense et sadique d’offrir ainsi à mes amis et soumettre à leurs fantasmes cette femelle complètement hors de contrôle prête à subir ...
    ... tous les outrages.
    
    Nous nous étions approchés de la croupe ainsi doublement garnie. Pierre tenait la base de la queue bien soulevée, ce qui nous permettait de bien voir les aller-retour lents et réguliers du mandrin qui, lorsqu’il ressortait, entraînait avec lui la bordure rose du vagin entourée des petites lèvres, un peu comme si la vulve refusait de se séparer du pénis.
    
    Marc braquait toujours sa caméra et, pour avoir le meilleur angle, appuya sur les omoplates de la pouliche qui comprit le message en écrasant ses seins au sol et appuyant la tête entre ses avant-bras. La croupe mieux cambrée devait peut-être encore faciliter la pénétration, mais permettait certainement une meilleure vue de la scène.
    
    Après avoir lui aussi déchargé dans la chatte, ce qui déclencha simultanément un violent orgasme chez sa propriétaire dont tout le corps était secoué de spasmes, Pierre prit place sur le siège et sans attendre, comme Jean, que la pouliche reprenne tous ses esprits, lui décocha un violent coup de cravache. Elle était encore sur les coudes, en train de se remettre à quatre pattes, et la cravache toucha la fesse droite sur son coté extérieur, avec le bout de la badine, dix centimètres avant le triangle de cuir. Le coup dut être très douloureux, car la pauvre poussa un grand cri de douleur, mais se remit docilement à quatre pattes et démarra aussitôt. Une marque blanche d’une dizaine de centimètres commença à orner la fesse ainsi cravachée.
    
    Pierre n’avait pas l’air pressé de ...
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