Bureau 17. Une nouvelle vie au Japon (2)
Datte: 30/04/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: caribonex, Source: Xstory
... dos, son sourire me fait comprendre que j’ai bien su deviner son envie, son besoin,. Elle regarde ma queue tendue, me fait un sourire d’une beauté rare, se place accroupie sur mes hanches, empoigne ma verge et se caresse l’entrecuisse avec ; comme s’il y avait besoin de le mouiller encore !
Ensuite, les yeux dans les yeux, elle me positionne et vient lentement, très lentement s’empaler sur moi.
Oh, que c’est chaud, que c’est brûlant, l’espace d’une seconde je pense aux volcans du Japon tant je suis bien, elle est étroite, les parois de son vagin me serrent délicieusement. Elle continue a descendre, me fait un drôle de sourire, comme étonnée d’arriver à me prendre autant en elle, gémit, descend encore et finalement nos corps sont en contact et elle pousse un long soupir d’aise. Je ne bouge pas même si j’ai une envie folle de donner de grands coups de hanche tant je suis bien en elle, tant je me sens en harmonie.
Elle reste sur moi et je me repais de son corps tendu, de ses seins fermes, des petits gouttes de sueur qui parcourent son corps de la racine de ses cheveux à la jonction de nos corps en passant par son cou gracile, la vallée de ses seins , son ventre plat et musclé et ses cuisses pâles et fines.
Cette bulle hors du temps s’étire et s’étire encore, scellant à chaque unité temporelle ce qui se passe entre nous.
Et puis, son sourire s’étire, ses hésitations s’envolent et elle commence à jouer de son corps sur moi, montant et descendant à son rythme, ...
... rythmer qui a chaque soubresaut s’accélère. Mes mains se posent sur ses hanches, pour la soutenir, l’aider ou plutôt, avouons le l’empaler toujours plus vite, toujours plus fort.
Elle gémit, crie pose ses mains sur mon ventre tendu et donne de vrais coups de fesses pour s’empaler pendant que je m’empare de ses seins et en triture fort les pointes comme elle le demande entre deux mots que je comprends. La bouche ouverte, elle happe l’air comme un poisson hors de l’eau, cherchant l’oxygène tant ses mouvements deviennent rapides et désordonnés.
Je m’efforce de penser aux impôts, aux mouvements des plaques tectoniques, à la bourse pour ne pas jouir tant c’est bon en elle, avec elle.
Et puis elle pousse un grand cri, s’effondre sur moi comme une poupée de chiffon , pleurant presque ivre de sensations, ivre de plaisir.
Ma queue pulse en elle, le moindre mouvement est une torture de plaisir, mais ses mots qui me demandent d’attendre me font serrer les dents.
Elle se relève délicatement, attentive à moi, les yeux toujours dans les miens et puis se coule comme une liane en arrière, juste à la bonne hauteur et me dit lentement que j’ai bien mérité ce qu’elle n’a jamais donné aussi volontairement, aussi impatiemment.
Sa bouche se pose alors sur mon gland, s’ouvre et descend doucement sur la colonne de chair tendue. Elle ne parvient pas encore à me prendre entièrement mais la vitesse de sa petite langue qui s’agit sur moi, la pression de ses lèvres sur le pourtour du gland, ...