1. Bureau 17. Une nouvelle vie au Japon (2)


    Datte: 30/04/2022, Catégories: Hétéro Auteur: caribonex, Source: Xstory

    ... son excitant palabre, me détaillant les nombreuses fois ou elle a laissée Naori la regarder se faire jouir. Naori qu’elle décrit comme une voyeuse forcenée, adorant la regarder se caresser, ou regarder les deux autres faire l’amour. Car c’est ce qui se passe la plupart du temps au bureau où comme je m’en fais la réflexion, beaucoup de temps semble être consacré à l’amour.
    
    Elle me confie avoir aussi regardé ses deux jeunes camarades, avoir même goûté aux plaisirs saphiques et me garantit tout un tas d’autres surprises.
    
    Ensuite, elle ne parle plus, du moins pas de la même façon, toute occupée à gémir , ce qui me met dans tous mes états. Elle m’attire aussi pour échanger de longs baisers à petits coups de langue rapides et je comprends quels genres de films sont regardés dans le bureau 17 !
    
    Puis elle sort un gros galet gris et arrondi de sous son oreiller et, à mon plus grand plaisir le fait vibrer sur ses seins puis l’amorce de sa petite toison délicate. Je ne suis pas blessé dans mon ego, non je suis enrichi de sa confiance, du fait qu’elle se livre à moi. Ainsi, quand elle est venue une fois chercher son miel et s’en lèche les doigts j’ai compris sa demande et je lui donne régulièrement mes doigts humides de son plaisir à déguster. Elle prend énormément de plaisir à me sucer les doigts à s’en badigeonner les joues ( je ne peux dire autre chose) et l’air mi-vicieux, mi-extatique qu’elle arbore n’est pas feint et me remplit d’excitation.
    
    Pour ce deuxième round, je ...
    ... fais de moins en moins dans le subtil, elle me fait sentir ses envies, ses besoins, et je les exauce avec joie et surtout du plaisir. Mon sexe pulse dans mon pantalon et je suis heureux d’avoir suivi la mode des pantalons un peu amples.
    
    Enfin, je sens que nos gestes conjugués la conduisent à nouveau sur le chemin du plaisir, elle lâche son galet, se presse les seins et jouit dans un long cri troublant qui manque me faire jouir dans mon caleçon tant c’est excitant.
    
    Pas de temps de repos cette fois, elle se porte à mon visage et lèche ma bouche humide de ses sécrétions, se délectant de sa cyprine, les yeux hallucinés, toute langue sortie, c’est obscène, pervers, bandant.
    
    Tout en bataillant avec ma langue comme une tigresse ; ses mains me débarrassent de mes vêtements avec une fébrilité qui rajoute encore à mon excitation. Quand elle tient, enfin, l’objet de ses désirs dans sa, ses mains, elle stoppe son baiser pour vérifier de visu ce qu’elle sent. Oh je ne suis pas un phénomène mais je suis honnêtement bien pourvu par la nature. J’avoue que ses paroles flattent mon ego et raidissent encore davantage si cela était possible. Oh vanité masculine sur laquelle la femme joue de toute la gamme !
    
    Elle parcourt mon corps de ses mains, de ses doigts, semblant visiblement savourer de pouvoir toucher à nouveau un corps masculin agréable à l’œil. Je lui rends la pareille, c’est le jeu de l’amour, le jeu de la séduction. Je sens ce qu’elle désire et je m’allonge volontiers sur le ...