Les Chevaliers du Zodiaque : les vices du Sanctuaire (5)
Datte: 29/04/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Nkari, Source: Xstory
... fait depuis la nuit des temps ; c’est naturel.
— Tu me fais un appel à la tradition et un appel à la Nature. C’est vraiment avec ces deux sophismes que tu comptes convaincre une sceptique comme moi ? Essaye encore.
— Mais je ne sais pas, à la fin ! J’étais persuadé que j’étais à ton goût et le courant avait l’air de passer entre nous deux. Pour moi, il était évident qu’il y avait moyen.
— Ce n’est pas parce que je raffole des gâteaux au chocolat que je vais me jeter sur la première boulangerie qui en met en vitrine, et ce n’est pas parce que je m’entends bien avec un homme que je vais forcément vouloir coucher avec lui. Alors, qu’est-ce qui te fait vraiment croire que j’aurais accepté ?
— Ben, je n’en sais rien. Oh là là, tu me casses la tête... J’étais tellement sûr de mon coup, et maintenant plus du tout. Tu m’as mis un gros doute.
Elle sourit, fière d’elle.
— Tant mieux. Le doute, c’est bien. On devrait toujours douter de nos certitudes.
— Bon, ben, trinquons au doute, alors !
Nous trinquons. Je vide ma chope en une gorgée, histoire de me remettre les idées en place. Du coup, je ne sais plus sur quel pied danser. Ai-je vraiment mes chances avec elle ? Quelle stratégie dois-je employer pour la séduire ? Je ne pensais pas autant me prendre la tête avec elle.
— Bon, du coup, on fait ça chez toi ou chez moi ? me lance-t-elle avec un sourire moqueur.
Pas le temps d’atteindre ni l’un ni l’autre des appartements ; sa question m’a tellement mis le ...
... feu aux poudres que je l’emmène directement dans les toilettes hommes du bar. Nos pièces d’armure valdinguent dans tous les sens. Nos bouches s’embrassent avec fougue. Je commence à la peloter partout.
— Hum, je savais bien que tu étais une coquine.
— Non, tu ne savais rien : tu croyais savoir...
Mouais, bon, si elle veut. Je ne cherche pas à débattre, j’ai d’autres projets en tête. Notamment de lui ôter son pantalon, de la coincer contre un mur et de la pénétrer là, à la sauvette ! Mes mains la portent par les cuisses tandis que ma hampe effectue plusieurs allers-retours précipités dans son antre. Judith s’accroche avec force à moi et soupire d’aise. Puis, comme mine de rien, elle pèse son poids et que je désire avoir les mains libres, je la balance sur un des lavabos. On entend un gros craquement et une fêlure apparaît sur la faïence, mais rien à faire, je suis trop occupé pour m’en soucier.
Les mains libres, je lui déchire la chemise et arrache son soutien-gorge. Je peux enfin admirer une jolie poitrine en forme de poire, et par « admirer », je veux plutôt dire lui triturer, jouer avec ses petits mamelons tout durs, et plonger mon visage entre ces deux merveilles.
Notre attention est soudain détournée par une présence : un mec vient d’entrer pour aller au petit coin. Il reste planté là, coi. Pas perturbé le moins du monde, je continue mes mouvements tandis que Judith interroge du regard notre voyeur involontaire. Ce dernier bredouille des excuses avant de ...