Le stage de Clara (4)
Datte: 28/04/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: phildomi, Source: Xstory
... jusqu’à ce que mes lèvres soient étirées. Une fois mes lèvres bien tendues, elle prend un pique et s’amuse à appuyer sur mes lèvres. Si je crie, elle se met à rire, un rire cruel. Je suis certaine qu’elle se venge.
Un matin, la fermière arrive et me jette mes vêtements par terre. Elle m’enlève les bracelets, les poids, le collier.
— Habille-toi, ton train est dans une heure.
On est déjà le 25 aout. Je n’ai pas vu le temps passer. Plus exactement, j’ai complètement perdu la notion du temps. Alors que j’enfile ma culotte, la fermière dit :
— ne t’étonne pas si tes sous-vêtements ont des taches. Le vétérinaire adore se branler dedans. D’ailleurs, il l’a encore fait tout à l’heure quand il a su que tu allais partir.
En effet, ma culotte et mon soutien-gorge ont plein de taches et sont encore humides. Cela me fait tout drôle d’avoir des vêtements et des chaussures. Je trouve cela presque insupportable.
Une fois prêtes, je sors de la porcherie. La bétaillère est dans la cour. Au moment de monter dedans, la fermière s’approche, baisse son pantalon et sa culotte.
— Nettoie, Luc vient de me faire l’amour. Le sperme colle.
Je m’agenouille et lèche la chatte poilue et odorante. Le sperme coule. Je lèche bien, insiste sur le clitoris. Sa main appuie sur ma tête. Je continue à la lécher, enfonçant ma langue dans son vagin pour récupérer le plus de ...
... sperme possible.
Elle me repousse d’un coup de pied.
— ça suffit. Il faut que tu partes.
Luc ouvre la bétaillère. Je me retrouve au milieu des cochons. Je suis ballotté dans tous les sens. Je suis sûr que le fermier en fait exprès de passer dans les nids de poule. D’ailleurs, je suis tombée deux fois pendant le trajet. Le tracteur s’arrête. La porte s’ouvre.
— Allez, descends, salope. Il me tend mon sac à main et me donne une grande claque sur le cul.
— Bien le bonjour à ton maître.
Le train rentre en gare. Je suis la seule à attendre. Je monte dans le train. Il n’y a qu’un voyageur au loin. Je ferme les yeux et repense à mon stage. Il a été particulièrement dur.
On me tape sur l‘épaule. C’est le contrôleur. Il a à peine tapé qu’il se recule en faisant une grimace. Je lui tends mon billet. Il le composte et part rapidement. Je pue. Les seules fois où j’ai eu de l’eau, c’est quand il a plu. A aucun moment, je ne me suis lavée.
Quand j’arrive à la gare, je n’ose pas prendre le métro. J’ai cinq kilomètres à faire à pied. Des gens qui me croisent, se bouchent le nez, font la grimace, me regardent avec dégout. Il y en a même un qui a dit tout haut que je puais la merde, qu’il fallait me jeter dans la flotte et me lavait au balai-brosse. C’est l’humiliation ultime. En fait mon stage n’est pas terminé. Il sera fini quand je serai dans mon bain.