Le stage de Clara (4)
Datte: 28/04/2022,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: phildomi, Source: Xstory
Je retourne vers mon auge et commence à manger. J’entends des bruits, c’est la fermière qui arrive.
— Ha, ça y est, tu es réveillée.
Je la regarde sans rien dire. Elle lève sa jambe et appuie sur ma tête avec sa botte crottée. Je me retrouve le visage écrasé sur la paille.
— Luc, viens la tenir comme je le fais. Je vais la fouiller. Son maître nous a dit qu’elle n’était pas pleine, mais je préfère vérifier. Avec des salopes comme elle, je me méfie.
C’est au tour de la botte de Luc de m’écraser le visage. Il attrape mes poignets et tire dessus pour me forcer à lever les fesses. Deux coups de cravache sur chaque cuisse me forcent à les écarter.
Les doigts de Solange commencent à écarter mes lèvres.
— Elle est encore trempée. C’est vraiment une salope. J’ai rarement vu cela. Je ne vais même pas avoir besoin de mettre du lubrifiant.
Je sens les doigts entrer, ma chatte s’élargir. La main commence à m’emplir. La fermière fait de petits va-et-vient et progresse de quelques millimètres à chaque fois. Je sens ma chatte accepter cette intrusion. D’un seul coup, la main rentre. La fermière se met à rire.
— Ton maître nous avait dit que tu étais qu’une salope sous tes airs BCBG. Il a raison. Bon, ce n’est pas tout cela, voyons voir si tu es pleine.
La main me fouille, les doigts grattent. Je gémis. La fermière tourne la main dans tous les sens et la retire d’un seul coup.
— Non, elle n’est pas pleine.
Ils sont repartis en me laissant. Je n’ai pas pu ...
... jouir. Je me retrouve là, seule, sans même pouvoir me caresser.
Plusieurs jours, plusieurs semaines sont passés. Je n’ai absolument aucune idée de quand on est.
Je suis utilisée tous les jours pour assouvir les besoins des uns et des autres, mais aussi pour travailler dans la ferme.
J’ai constamment des chaînes aux pieds, je suis fouettée régulièrement, je n’avance pas assez vite à leur goût. Mes seuls moments de tranquillité c’est la nuit quand je suis dans mon box et encore.
Une fois, ils m’ont réveillée en pleine nuit à coups de cravache. Une fois qu’ils ont eu fini, j’ai été obligé de sucer la bite du vétérinaire. Quand il a été bien dur, il m’a enculée en disant que mon cul est bien serré. Il est revenu très souvent sous différent prétexte.
Cela n’a pas été le seul. Tout le monde était au courant dans les environs. Les plus dures, ce sont les femmes. Elles doivent être jalouses. Il y en a une particulièrement, son grand plaisir c’est de venir quand je travaille.
Pour travailler, ils enlèvent les poids de mes lèvres et y mettent une grosse chaîne qui traîne par terre. Elle est lourde et je n’ai pas le droit de la prendre avec mes mains. Mon travail consiste à curer le fumier et mettre de la paille fraiche aux cochons. C’est fatigant, sale. Je suis souvent fouettée. Je n’avance pas assez vite d’après eux.
La femme, qui vient le plus souvent, s’appelle Suzanne, et son truc, c’est de bloquer la chaîne avec ses pieds et de me fouetter pour que j’avance ...