1. On ne grandit pas toujours en sagesse


    Datte: 27/04/2022, Catégories: fhh, fhhh, frousses, cocus, candaul, vacances, Oral init, Humour diffage, Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    ... réplique en lui saisissant un sein avec la bouche. Dieu, ce parfum !
    — Viens dans ma chambre, on sera mieux.
    
    Elle me prend par ma queue pour me tirer vers son lieu de concupiscence. J’ai un peu l’impression de m’être fait harponner.
    
    En arrivant, elle me lâche et, me disant de me déshabiller, elle fait de même en dévoilant par la même occasion une touffe bien fournie.
    
    — Je te plais ?
    — Il faudrait être fou pour dire le contraire. Vous êtes divinement belle.
    — Ça fait plaisir à entendre, et sans attendre elle me prend ma bouche avec la sienne pour un baiser… et quel baiser !
    — Couchons-nous puis cochon nous. J’ai envie de goûter cette belle saucisse.
    — Oui, si je peux te rendre la pareille.
    — J’y compte bien.
    
    On s’est mis en trois vingt-neuf, elle me bécotant le gland de ma bite, une fois le prépuce tiré au fond et moi, j’écartais cette forêt luxuriante pour mettre mon nez et ma langue où il faut. L’odeur est puissante et agréable. Je me régale de ses saveurs et je me concentre sur son trou et ses lèvres en ignorant volontairement son clitoris.
    
    Ça ne manque pas, rapidement elle me rappelle à l’ordre en m’intimant d’une voix rauque de m’en occuper aussi.
    
    — C’est pas facile dans cette position.
    — Attends, maintenant que j’ai goûté ton asperge, je vais me mettre sur le dos et relever mes jambes, là tu auras tout loisir de t’occuper de mes affaires.
    
    Là, c’est moins drôle, la drôlesse me présente par la même occasion son trou du cul, j’ai l’impression que ...
    ... le PQ a dû glisser. Je ne vais pas m’aventurer aussi loin et effectivement me concentrer sur son bouton d’amour. À la place de le sucer, je le prends entre mes doigts avec la peau qui est autour et je lui fais comme si je me branlais. Le résultat va au-delà de mes espérances. Elle décolle direct, une fois son envol pris, plus rien ne me retient de ne pas parfaire mon œuvre en plantant mon drapeau dans son con. Territoire conquis.
    
    Ce que je fais séance tenante et je commence à limer à droite, à gauche vers le cul et vers le nombril. Je remarque que quand mon vit appuie contre en haut, elle apprécie beaucoup. Alors, je me concentre sur cette façon de baiser et après un bon moment, elle part brutalement dans un orgasme et vient à ma rencontre, c’est elle qui semble dicter la manœuvre et lentement elle se détend pour me sucer la queue avec son con. Je ne me retiens plus et je lui arrose son puits d’amour.
    
    — C’était bon, mais tu as de la chance que j’aie un stérilet, sinon avec ce que tu m’as mis, c’était pas un, mais deux ou trois chenapans d’un coup ! Tu aurais fait quoi ?
    — On se serait mariés, alors.
    — Il est mignon, mais je suis trop âgée pour toi.
    — Je ne me plains pas, tu as un petit goût de reviens-y.
    — Et comment l’annoncerais-tu à ton père, et comment je devrais me comporter vis-à-vis de lui, car tu as bien compris que je suis sa maîtresse.
    
    Après que Père m’ait expliqué que probablement il n’y avait pas malice de la part d’Anne, mais qu’elle aimait beaucoup ...
«12...456...»