1. On ne grandit pas toujours en sagesse


    Datte: 27/04/2022, Catégories: fhh, fhhh, frousses, cocus, candaul, vacances, Oral init, Humour diffage, Auteur: Vopicek, Source: Revebebe

    ... d’un assortiment de nourriture chez Madame Silvaine Dupuis.
    
    — Bonjour, Alain, c’est toi qui m’apportes le ravitaillement à la place de ton père ?
    — Pas que… il m’a dit de le remplacer et vous donne bien le bonjour.
    — Viens, entre, je t’offre une tisane de menthe contre la transpiration et après une fine pour la forme.
    — Volontiers.
    
    Je n’avais pas fait trop attention à elle jusque-là, mais avec la mission de père, je me dis que c’est un beau cadeau. Une noiraude, ni trop grasse, ni trop maigre, avec de la chair là où il en faut, mais jamais je n’oserai un geste déplacé. Elle m’impressionne un peu, comment père a-t-il œuvré pour l’avoir ?
    
    Elle me montre un canapé dans son salon et me fait un sourire engageant.
    
    — Comment vont tes études ? C’est pas trop dur ?
    — C’était pas d’la tarte au début, mais j’ai réussi à me mettre à jour et j’ai bien terminé mon année.
    — Et les petites amies ?
    — J’avais une copine qui m’a aidé pour les cours, mais nous n’avons que travaillé ensemble, je l’ai invitée à la ferme pour l’été. Là, les choses se sont précipitées[2]. Je lui ai dit que je désirais être son petit ami, la première fois ne s’est pas bien passée, elle n’était plus vierge et elle m’a obligé de m’épandre dans elle. Je ne sais plus très bien où j’en suis. C’est la raison pour laquelle je suis ici, Père désirait l’interroger.
    — Diantre ! Je vois que je dois donc te consoler un peu. Enfin, j’attendais ton père pour aussi l’interroger. Tu reprends un peu de fine ? ...
    ... Viens à côté de moi, j’ai aussi besoin qu’on me console de ma solitude.
    
    Je me déplace et je m’assois à côté.
    
    — Viens plus près, je ne vais pas te manger, enfin, pas comme tu le crois, et elle me tire tout contre elle en me passant son bras sur mes épaules.
    
    Je ne sais si c’est mon imagination, mais elle a un parfum qui me trouble, terriblement animal. Contre mon épaule, je sens un sein très ferme et sa blouse me permet de voir son jumeau. La polissonne, elle n’a pas mis de soutif[3].
    
    De sa deuxième main, libre, elle commence à me caresser d’abord les joues.
    
    — Tu te rases maintenant… Tu es devenu un homme !
    
    Sans attendre ma réponse, elle passe sa main sur mes pectoraux.
    
    — Tu es bien le fils de ton père, fort comme un Turc, et à ce que je vois, aussi bien fourni.
    
    Je suis rouge pivoine devant cette attaque directe, Père m’avait bien averti qu’elle allait attaquer, mais je ne m’attendais pas avec une telle rapidité. Vraiment, il faut dire que je revois un peu mes classiques en amour. Devant un tel sans-gêne, je contre-attaque en lui prenant les seins dans la main et en ouvrant sa chemise.
    
    — Tu es rapide, mais j’espère que tu sais tenir la distance ! me dit-elle en posant sa main maintenant sur ma cuisse nue et en remontant vers mon pubis.
    
    Elle glisse sa main sous ma cuissette[4] et met à jour ma virilité.
    
    — Tu me permets que je m’en occupe, cela fait si longtemps que je n’en ai pas vu une si jeune et vigoureuse.
    — Je veux bien s’il y a réciprocité, je ...
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