Puis-je Laisser Faire - Histoires de Sexe

Puis-je Laisser Faire

... pressés contre le dessus de la table. Elle n'ose pas se cramponner à l'épaule de The Lover. Cela pourrait créer une mauvaise humeur, une réprimande même dans cet endroit public avec les autres clients qui regardent, ou ne regardent pas comme c'est leur habitude.

Elle jette un coup d'œil, faisant attention de ne pas trop bouger la tête. Deux femmes au maquillage Cléopâtre identique et à la langue des coupes de cheveux colorées du pageboy noir s'embrassent dans une cabine d'angle. De l'autre côté de la pièce, une femme aux cheveux blonds crépus (ou un jeune homme avec une perruque et une jupe en cuir; c'est impossible à dire) est descendue sur le patron en costume blanc et chapeau de Panama avec une canne. La canne de Panama bat une percussion et la blonde boucle sur ce rythme de tambour. Au bar, le barman regarde le chemisier d'une femme très plantureuse. Deux Africains très maigres sont sur la piste de danse, se déplaçant sur un air qui n'est pas le même que le blues qui joue, mais qui convient néanmoins. De temps en temps, ils passent un tuyau de l'un à l'autre et un nuage rose en dérive. Son odeur est merveilleusement obscène.

Elle sent The Lover prendre fermement un de ses pieds dans la main et le soulever de sa chaussure et le placer, la semelle sur la table. Heureusement, la table est suffisamment basse et la plateforme de l'autre chaussure suffisamment haute pour qu'elle puisse se tenir ainsi. The Lover pousse ses deux genoux vers l'extérieur pour que son sexe ...

... soit entièrement exposé à la pièce. En fait, il s'ouvre plus large avec un clic humide, révélant la gorge lisse de son vagin. Une gouttelette claire grossit au point où les lèvres touchent le bas.

Les lèvres de The Lover face aux lèvres à quelques centimètres seulement. Souffle chaud, puis souffle frais à travers les lèvres pincées.

Les mamelons de la femme se resserrent alors que le bout de la langue atteint le périnée et y peint un petit cercle. Et puis encore. Et puis encore. Elle essaie de s'abaisser; pour engloutir cette langue, mais des mains fermes tiennent ses hanches. Le bout de la langue trace une ligne le long du bord inférieur de son vagin; lèche, si rapidement, qu'une gouttelette salée claire. Cajole un autre et un autre. Plonge juste au-dessus de la jante dans le creux rougissant à l'intérieur, mais oh si prudent de ne pas pénétrer cette ouverture. Pas maintenant, pas encore. Au lieu de cela, avec une lenteur atroce, la langue remonte la surface lisse vers la perle pulsante au-dessus; s'arrête et commence une petite danse sur la petite rondelle où la femme pisse.

Elle a une profonde envie de se libérer. Elle sent la présence d'autres personnages derrière elle, se rapprochant; reniflant son parfum. Elle sait qu'ils n'oseront pas toucher à moins que The Lover ne le permette; non, l'encourage, l'orchestre même.

Les doigts fermes de The Lover s'enroulent maintenant autour de ses cuisses. Un signe de tête. Quelqu'un avec une respiration chaude et des lèvres ...