Puis-je Laisser Faire - Histoires de Sexe

Puis-je Laisser Faire

... lorsqu'elle se perd à la piqûre de celui-ci. À ce moment, sans autre contact requis, une petite agitation électrique commence profondément dans son ventre. Quelque chose gronde et se tord comme si de fins fils sillonnaient et étincelaient.

La sensation descend alors le long de ses longues jambes pâles, donc sans tonus musculaire. Inévitablement, ils se tordent, comme pour fuir, et en même temps, se rapprochent. Pendant un long moment, un mollet est serré et le genou frémit avant d'être relâché.

Ses petites fesses fines se tendent jusqu'à ce que des creux bleus peu profonds apparaissent dans chacun. L'humidité perle le petit triangle à la base de sa colonne vertébrale. Une gouttelette roule à travers le doux vers le bas dans le décolleté profond entre ses fesses à peine tremblantes.

Même maintenant, elle crie doucement "Aïe", son visage masqué par la vague de cheveux, le visage de The Lover également caché par les cheveux et la courbe pâle de ses seins. Une perle impudente au sommet de ses lèvres secrètes a émergé, grasse et rose, contrairement aux tons bleus sur le reste du corps. Elle ressent la démangeaison, la douce irritation à cet endroit, qui demande maintenant plus d'attention alors qu'elle flirte avec l'air nocturne. The Lover se penche et crache dessus, puis frotte si lentement cette grappe d'humidité moussante en cercles autour du nœud. Juste en dessous, les lèvres externes ont gonflé et se sont arquées les unes des autres comme pour prendre une ...

... respiration, permettant à The Lover, qui glisse de la chaise sur le sol, la liberté de regarder le corail intérieur scintillant. Lorsque l'air touche cette humidité, il picotera; alors elle s'efforce de forcer ce merveilleux inconfort contre quelque chose, de le frotter, de l'effacer. Les muscles à l'intérieur de ses cuisses sont tendus, mais les mains de The Lover sont là, tenant les genoux écartés et immobiles.

La cible n'est pas touchée. Au lieu de cela, la bouche de The Lover devient plus légère, plus légère; la langue plus douce, plus douce. Les mains ne sont plus exigeantes maintenant. Ils ne tentent pas. Ils se reposent, doux et neutres. Plus d'air frais touche les mamelons humides, le cou humide, une fine ligne de sueur, coule à côté de la colonne vertébrale, un autre brillant entre les seins et se regroupant dans le nombril.

Elle expire avec un rythme fort, ses lèvres sèches, ses oreilles fraîches de la bouche humide de The Lover, sa poitrine chaude de la rougeur montante, chaque mamelon un nœud dur et douloureux. Dans l'ombre, ces autres lèvres suintent doucement.

The Lover s'incline en arrière et tient ses yeux pendant de longs moments dans l'obscurité sous ses cheveux; sourit, montrant un petit bouton de langue rouge, puis la tire jusqu'à ce que les cuisses pâles forment une cathédrale au-dessus de la bouche d'attente. Déboucle la grande sandale de son pied gauche, mais ne la retire pas. Elle se tient encore moins fermement maintenant, les doigts de sa main gauche ...