1. Mon éveil de soumise (7)


    Datte: 01/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    ... l’ouvris et la léchais longuement, patiemment ; il était temps pour Pierre de terminer mon entraînement au fist ; il profita de ma position accroupie devant le sexe de l’esclave pour placer sa main sur mon sexe. Ses doigts pénétrèrent un à un jusqu’à ce que je sente sa main au fond de ma chatte ! Il me branla alors doucement puis fermement. Je sentais le désir monter. Sophie qui au comble de l’excitation jetais son bassin au-devant de ma bouche, lâcha soudain un râle et eut un orgasme longuement contenu qu’elle accompagna d’une « éjaculation » qui m’inonda le visage. Surprise, je trouvais cependant l’acte gratifiant et je m’appliquais à absorber toutes ses sécrétions. Pierre souriait.
    
    Sophie, enfin comblée, dut descendre du lit pour reprendre sa position à quatre pattes et attendre. Elle était si bien dressée !
    
    Quant à moi, ces scènes et ces orgasmes avaient eu, momentanément, raison de mon énergie ; je restais un moment à quatre pattes moi aussi. Ma chatte restait douloureuse, mais je ressentais une douce sérénité m’envahir.
    
    Il était minuit, mais Pierre semblait décidé à ...
    ... poursuivre nos « jeux ». Il invita Sophie à parler, elle dont je n’avais entendu que les gémissements jusqu’à présent « Qu’as-tu à dire ? » ; elle releva la tête et s’adressa à Pierre.
    
    — Merci, Monsieur, de m’avoir autorisée à jouir ; vous pouvez encore faire ce que vous voulez de moi.
    
    — Je remercie aussi votre soumise de m’avoir si bien léché.
    
    J’avais encore le visage humide de l’éjaculation de Sophie, sans parler de son odeur qui imprégnait ma bouche.
    
    Il nous demanda de vous lever face à lui qui était assis sur le lit ; je commençais à sentir violemment les effets de l’eau que j’avais ingurgitée en début de soirée et je me tenais cuisses bien serrées pour contenir cette envie pressante d’uriner ; Sophie était dans le même état. Pierre prit un ton surpris, voire ingénu, pour demander depuis quand soumise et esclave se tenaient cuisses serrées. L’esclave rectifia immédiatement sa position, ce que je n’étais pas en mesure de faire sauf à créer un écoulement dont je redoutais les conséquences. Je serrai mon périnée autant que je le pouvais et ouvris enfin les jambes.
    
    A suivre 
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