1. Mon éveil de soumise (7)


    Datte: 01/02/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: divinmarkiz, Source: Xstory

    ... gestes qui avaient leur dose de tendresse.
    
    Après un certain temps dans cette position, Pierre retira l’instrument pour faire diriger mon regard vers un gode qu’il avait préparé ; il était énorme, déjà enduit de lubrifiant, prêt à s’introduire dans mon orifice !
    
    Je dus m’accroupir ; il prit le « monstre », le présenta à l’entrée de mon vagin et me demanda de me l’enfoncer ; l’épreuve était difficile. Je m’escrimais, faisais monter et descendre mes hanches, enfin, je le sentis commencer à me pénétrer. Une fois engagé, je poursuivis mes va-et-vient et enfin, il se mit à glisser ; cette impression d’envahissement était inconnue et jouissive. Je m’y adonnais avec persévérance et application jusqu’à ce qu’il juge que j’avais fait le nécessaire.
    
    Une minuterie sonna, c’était l’heure de libérer le sexe de l’esclave ! Pierre me fit découvrir l’effet en réel et je ne pus qu’admirer le résultat ; je demandais à toucher la chatte de Sophie qui sous l’effet de cette pompe, ballottait légèrement. Elle était sensible rien qu’à l’effleurement !
    
    C’est maintenant le moment pour ta nouvelle punition ; Sophie le savait. Pierre avait pris sa badine et lui ordonna de s’allonger cuisses repliées et écartées. « Combien de coups mérites-tu ? » « C’est à vous de décider Monsieur ». « Je le sais bien, mais vouloir se caresser sans autorisation est inacceptable, qu’en penses-tu ? »
    
    A la douleur à venir, Pierre ajoutait une torture morale ; Sophie ne pouvait répondre que oui ; ce qu’elle ...
    ... fit. « Et donc que mérite l’inacceptable ? »
    
    Je vis pour la première fois une larme couler sur sa joue ; elle connaissait cette punition ! Je ne l’enviais pas, mais la mise en scène que Pierre avait construite autour de cette nouvelle épreuve faisait naître chez moi une excitation un peu sadique ; je n’en étais pas particulièrement fière. Je pourrais un jour me trouver dans la situation de Sophie.
    
    A cette dernière question, Sophie répondit un timide « 20 coups Monsieur. »
    
    — Qu’en penses-tu Fabienne ?
    
    J’étais interloquée et partagée entre le désir de la voir encore souffrir, elle aimait tellement ça, et la pensée tout aussi tordue que Sophie puisse être un jour dans ma position (je pensais que Pierre était assez pervers pour le faire). Je me rangeais à cette dernière pensée ; je ne voulais pas que Sophie se souvienne de ma cruauté : « 20 coups Monsieur » dis-je.
    
    — 30 coups auraient été plus appropriés, mais je me range à votre avis.
    
    Un masque de soulagement se peignit sur le visage de l’esclave qui remercia Pierre.
    
    Il se plaça face à son entrejambe grand ouvert et positionna sa badine ; il alternait ses coups sur chacune de ses lèvres ; Sophie se mordait pour ne pas crier et tint bon ! Elle était courageuse et Pierre y fut sensible ; il m’ordonna de la soulager en la léchant. C’était inattendu et je n’en avais pas particulièrement envie, mais il n’était pas question que je désobéisse.
    
    Sa chatte sentait très fort, mais après une légère hésitation, je ...