1. ... attendre...


    Datte: 22/04/2022, Catégories: fh, cérébral, Masturbation Oral rencontre, Auteur: Enzoric, Source: Revebebe

    ... cadeau. Elle se l’approprie.
    
    Clac… Clac… Elle va apparaître…
    
    Clac… puis plus rien.
    
    Hésiterait-elle ?
    
    Clac. Non. Ce n’était qu’une simple pose. Qu’une autre admiration de ce que je lui ai offert.
    
    Clac. Elle n’est plus loin. J’ai compté le nombre de pas, et je connais l’envergure d’une de ses enjambées, pour l’avoir admirée marcher, et avoir calculé, rentrant, cadeau en main, combien elle en ferait. Alors je sais qu’elle n’est plus qu’à deux pas de la porte. C’est mathématique. Sauf si elle a réduit ses enjambées. Alors je reprends mon calcul… Trois, quatre tout au plus.
    
    Clac. Clac. Elle apparaît. Gagné !
    
    Elle les porte. Elles lui vont comme un gant. Elles sont faites pour elle. J’ai bien choisi. Tout est parfait. La longueur, finissant aux trois quarts de ses cuisses, la taille, épousant ses pieds comme une seconde peau. Mais je n’ai aucun mérite, j’ai eu plus que le temps nécessaire pour le mesurer, en long et en large, ce corps que j’ai tenu dans des poses incroyables. La cherchant dans le noir, dans cette chambre 101 de l’hôtel de la gare, j’avais mesuré, de ma longueur de bras, de son pied contre mon épaule, la longueur de ses jambes. Pour la pointure, que je lus et relus en la maintenant par les mollets avant de plonger en elle, je remercie les fabricants de juger de bon aloi de la graver sur la semelle. Alors oui j’étais certain qu’elles lui iraient ces cuissardes noires, seules paires que je remarquai manquantes dans l’impressionnante collection ...
    ... qu’elle me révéla avant de partir, et que je mesurai d’une manière tout aussi rocambolesque avant de prendre la poudre d’escampette devant une vendeuse, d’abord effrayée, puis amusée. Je doute qu’elle ne reverra de sitôt un homme ainsi choisir une paire de chaussures.
    
    J’étais fier. Non, heureux qu’elle les porte. Bouche ouverte, bavant presque en la voyant le franchir, ce pas de porte. Je le fus plus encore lorsque, quittant les talons, remontant le long de ces cuisses, cachées derrière ces tubes de cuir, j’atteignis du regard leurs lisières, avant de constater qu’elle avait revêtu des bas, noirs de fines résilles, que je parcourus jusqu’à leurs accroches. Regard toujours ascendant, je m’attardai quelques secondes sur ce piercing, que je ne reconnaissais pas. Il était rouge, certes, mais différent ; elle en avait changé, avant de partir sans doute. Je l’aurais bien détaillé plus longuement, mais je n’avais pas finis de l’admirer ce corps enfin revenu à moi, comme il était avant de me quitter, aussi nu et haut perché, non plus de simples hauts talons, mais de ceux de mon cadeau. À moi. Celui que j’avais choisi, et qu’elle portait à merveille.
    
    Il me restait les seins, et, surtout, cette bouche à parcourir des yeux. D’abord le gauche. Pourquoi ? Derrière lui se cache le cœur. Ce cœur qui a conquis le mien et qu’elle emballait dorénavant, présente ou absente. Rond à souhait. Opulent et ferme, au tétin érigé, mais sans plus, au centre d’une aréole à la pigmentation d’un ...
«12...111213...16»