Sentence irrévocable
Datte: 22/04/2022,
Catégories:
ff,
ffh,
forêt,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Oral
jeu,
Auteur: Myo, Source: Revebebe
... jumelles, remontent se poser sur seins. Il est pressé, ou empressé. Il a envie, un authentique désir qui n’a que peu à voir avec la caméra. Le jeu de langues entre les deux femmes n’est pas non plus pour lui déplaire. Il ne sait pas jusqu’où elles sont allées jusqu’à présent, et ne veut pas brusquer l’action. Il a aussi une pensée pour sa femme. Elle comprendra qu’il joue le jeu, mais pas qu’il le corse de lui-même. Pourtant, voilà ses mains sous le débardeur. Elles pincent les tétons. Son souffle est dans le cou de Maëlys, dont la tête tourne. Elle a compris qu’Isabella lui offre non seulement son pardon mais aussi sa rédemption. Une main est entre ses jambes. Une main soupèse un de ses seins. Une main titille son téton. Une main dénoue le lacet de son short. Une langue frôle sa langue. Une autre excite la base de sa nuque, provoquant un frisson violent et simplement délicieux. Cette fois, il n’y a plus de cameraman dans l’esprit de Maëlys. Elle n’est plus que chair, désir, et abandon. Elle fait elle-même glisser la robe d’Isabella, puis pose sans préambule, à tâtons dans son dos, sa main sur le sexe dressé de Nicolas.
Les deux femmes sont nues. Isabella est allongée sur le sol. Maëlys, penchée sur elle, lui embrasse les seins et cette fois encore glisse un doigt en elle, puis deux. Elle ne s’allonge pas vraiment, elle est à genoux. C’est inconfortable mais parfaitement conscient. Ses fesses sont tendues vers le ciel. Elle ne s’occupe pas du jeune homme mais elle sait ...
... qu’il est là, elle sait que c’est sa main à lui qui s’appuie sur sa croupe, et que ce sont ses doigts à lui qui entrent en elle. Isabelle est abandonnée à ses caresses. Elle a les deux mains derrière la tête et jouit de ne rien faire, mais de tout sentir et de tout voir. Elle accompagne de ses reins le va-et-vient des doigts de Maëlys, qui s’occupe en même temps de ses seins. Isabella sent les gémissements de sa partenaire, et les sait causés par le jeune homme. Elle s’étonne qu’il soit encore habillé, et s’inquiète presque qu’il ne laisse pas passer trop de temps avant de passer au stade suivant. Elle n’a pas oublié le jeu, le scénario. Mais c’est bien la seule, et puis pour elle non plus ça ne durera pas. Tôt ou tard, tous les réflexes s’estompent.
Nicolas retire ses doigts du sexe de Maëlys et penche son visage vers la croupe plus tendue encore qu’avant. Il approche sa langue de son clitoris. Il le lèche, le suce, l’aspire et est largement récompensé par la réaction tant physique que verbale de la jeune femme. Elle ne s’occupe pas plus de lui, ne lui a pas encore vraiment jeté un regard, et sans qu’il ne sache bien pourquoi, cela l’excite. Il est un objet de son désir, un accessoire dans la séquence des deux femmes. Il lui semble aussi que c’est mieux comme ça. « C’est pour le jeu, rien de personnel, tu comprends ma chérie ».
Il fait glisser son short sur ses genoux, puis d’instinct s’en débarrasse complètement, pour avoir les mouvements bien libres. C’est que Maëlys a ...