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Datte: 21/04/2022,
Catégories:
fff,
inconnu,
gymnastiqu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
nopéné,
lesbos,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... ça.
Et elle me retire le peignoir pendant que je continue mon discours.
— Voyez-vous, Kristel, libérer son corps n’est pas si simple. Il faut d’abord faire table rase de nos tabous, des blocages que nos sociétés successives ont cristallisés, collant à des valeurs de morale et de bienséance sur des comportements qui n’ont eu de raison d’être qu’à l’aube de l’humanité ; aujourd’hui, on ne croit plus que nos menstrues puissent attirer les bêtes féroces ou empoisonner les champs ni que les excréments puissent servir de piste à suivre pour les fauves !
— Oui Mad… oui Annette, je comprends.
Malgré son air dégagé, je vois bien qu’elle est mal à l’aise.
— Bah ! Nous aurons l’occasion de reparler de tout ça, si toutefois vous vous joignez à nous. À vous de décider, dis-je en me levant.
C’est le moment que choisit cette coquine de Brigitte pour m’attraper les seins par-derrière et m’attirer contre elle en les serrant à pleines paumes.
— Tu es trop sérieuse, ma chérie ! Kristel a seulement besoin d’exercice et de détente, entre amies sympas ! Tu lui parleras de tes théories plus tard, continue-t-elle en laissant une main s’égarer sur mon pubis…
Je n’ai jamais pu résister aux caresses, surtout celles de Brigitte. Je me cambre, renverse un peu la tête pour offrir mon cou à ses bisous. J’écarte un peu les jambes pour laisser passer sa main. Les miennes vont en arrière chercher ses fesses, pour coller son ventre contre mes reins. Elle glisse un doigt dans ma fente… Je ...
... me secoue, nous oublions Kristel ! Celle-ci ouvre de grands yeux et suit attentivement la progression du doigt de Brigitte qui ouvre franchement mes lèvres humides.
— Arrête Brigitte ! Tu n’es jamais sérieuse plus d’une minute, lui dis-je en riant. Notre nouvelle amie va croire qu’elle est tombée dans le septième cercle de l’Enfer !
— Heu… ça ne me gêne pas… proteste Kristel, mais la conviction n’y est pas.
— Ça ne te gêne pas, mais tu préférerais que Brigitte ne me tripote pas le minou devant toi, non ?
— Heu… c’est-à-dire… c’est tellement intime…
Elle n’ajoute rien, mais je reprends son mot au vol.
— Intime, c’est une jolie expression. C’est déjà mieux que « sale » comme on me le disait encore dans mon enfance. Mais je crois qu’au fond de toi tu penses « obscène ». Pour nous, comme je te l’ai dit, rien n’est sale, ni obscène, ni intime. Bien sûr que nous ne ferions pas ça dans la rue ! Ici, nous sommes libres d’exprimer nos envies, comme tu l’es, ou plutôt, comme tu le seras si tu nous rejoins. Dis-toi que c’est un lieu hors normes, toutes les contraintes sont abolies. Une sorte de temps dérobé, qui peut être le Paradis si tu l’acceptes, ou l’Enfer si on t’y force.
— Et voilà, s’amuse Brigitte, notre Annette est repartie dans ses grandes théories ! Ce que tu dois comprendre, Kristel, c’est que si ça ne te plaît pas, tu le dis. Personne ne te masturbera de force ! Mais si tu as envie de regarder, ou de participer, tu en es libre aussi !
— Brigitte a raison, je ...