Mona dans ma main (1)
Datte: 19/04/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: DarryllPauvert, Source: Xstory
... écartées, et m’expliqua que sa mère, la surprenant sous la douche, lui avait reprochée d’avoir rasé son pubis. Implicitement invité à imaginer son entrejambe glabre, je fixais la zone désignée comme j’eus fixé son coude s’il en eut été question. J’accompagnai même mon commentaire d’un geste, amenant ma main à quelques centimètres de sa chatte. Non seulement ses cuisses ne se refermèrent pas, mais, tout en argumentant qu’elle n’était plus une gamine et qu’elle pouvait faire de son corps ce qui lui plaisait, elle bascula ses bras derrière elle, cambrant son buste pour s’étirer. Jambes largement ouvertes, seins en avant, elle paraissait vraiment bien disposée à mon égard, mais je la savais peu exclusive, aussi me parut-il pertinent de lui proposer rapidement de se rencontrer à l’extérieur afin de pouvoir « discuter plus tranquillement ».
— Ah ouais, super ! Quand tu veux.
— OK, ben disons ce soir alors ?
— Ce soir ? Attends, je devais voir Tom... Mais bon, il me gonfle lui aussi. Il était bien chez un copain hier. J’ai le droit moi aussi de voir mes copains sans lui non ?
— Ben oui, bien sûr. On prend un pot en ville ou tu préfères plus au calme chez moi ?
— Comme tu veux, Darryll. Chez toi si tu veux, OK.
Les jambes repliées sous les fesses, Mona se tenait sur mon canapé sans s’appuyer sur le dossier, me rappelant la petite sirène de Copenhague. Sa jupe remontait haut. L’écoutant, opinant du chef, je consacrais la majeure partie de mes capacités cognitives à ...
... œuvrer à un rapprochement, touchant dès que je le pouvais sa main, son bras, son épaule quand je parlais à mon tour, c’est-à-dire pas si souvent que ça. Mona était en quelque sorte autosuffisante en matière de conversation, s’interrompant fréquemment pour répondre aux textos de son copain ou de sa mère qui, en l’absence de visibilité sur son agenda de ce soir, s’inquiétait. Tout en s’en agaçant, elle entretenait des conversations parallèles avec eux en tapotant à toute vitesse sur son smartphone.
—’Tain, y font chier, j’te jure !
Jamais en dépit de ces brèves, mais fréquentes interruptions elle ne perdait le fil et poursuivait inlassablement et implacablement sa litanie de plainte contre ses deux interlocuteurs virtuels.
Telle cendrillon, elle avait une heure butoir. Elle n’allait pas se transformer en souillon au-delà, mais Dieu sait ce dont était capable, sa mère, déjà anxieuse, si Mona ne respectait pas son engagement. A 2 heures, elle devait être rentrée ou sur le retour, et je me rendis compte près de minuit que j’avais laissé filer le temps.
J’essayai alors de poser une main dans son dos et de l’y laisser. Elle ne s’en émut pas et poursuivit comme si de rien n’était. J’ébauchais ensuite un mouvement lent du bas vers le haut et du haut vers le bas, caressant son dos à travers le tissu du plat de la main et du bout des doigts. Peut-être attendait-elle ce rapprochement, car elle courba le dos pour mieux répondre à mon geste, disant : « HO la la, si tu me fais ...