Un cours très spécial à l'université (2)
Datte: 19/04/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory
... milieu qui dévoile sans pudeur les charmes de deux jeunes filles sur chaque page centrale. Sylvie se reconnait aussitôt et avoue :
— Je me souviens des gros problèmes d’argent d’alors, mais ne voulant pas comme certaines copines, me prostituer pour payer mes études, j’avais trouvé ce moyen d’arrondir les fins de mois en posant nue.
Il lui faut un temps pour se reprendre avant d’affronter le regard d’Olivier.
— Et alors, Olivier, ça te pose un problème ? Que veux-tu, petit con ?
— C’est donc bien vous, Madame. L’autre fille et pas mal aussi, ça me dit quelque chose, mais je n’arrive pas à lui mettre un nom dessus.
— On ne peut rien te cacher... tout le monde n’est pas né une cuillère d’argent dans la bouche, comme toi, et tu vois que j’ai réussi à me faire une place dans ce monde sans pitié pour les pauvres.
— Peut-être, peut-être... Moi, mon problème, c’est d’avoir mon diplôme.
Je me rappelle de cette revue, la deuxième pin-up, c’est moi. Avec Sylvie, on s’était mutuellement soutenues pour avoir le courage de se dénuder devant l’appareil photo d’un parfait inconnu. On n’aurait jamais cru que nos photos seraient retenues et encore moins de les retrouver en pages centrales.
— Vous étiez gironde Madame, j’espère que vous avez apprécié votre cours l’autre jour, et aussi le modèle...
Olivier s’approche de Sylvie, la dévorant des yeux, il lui prend la main et la pose entre ses cuisses.
— Je ne sais pas si c’est votre photo, vous ou le souvenir de vos ...
... mains sur ma bite lors du cours, mais sentez l’effet que vous me faites.
Sylvie est forcée de caresser sa verge à travers son jean, Olivier descend sa braguette et dégrafe le haut de son jean pour laisser apparaître son boxer.
Je suis bien placée pour voir Sylvie prendre les « choses » en main, si je puis dire. Pressée de voir son sexe, elle baisse jean et slip d’un même mouvement jusqu’à ses genoux.
Une bite longue, droite, bondit sous son nez, gonflée à bloc. Je me mets à saliver comme une droguée en manque en regardant palpiter ce chibre, en admirant les testicules qui pendent très bas, sans aucun poil.
La queue libérée de sa prison, Sylvie s’en saisit et la branle en lui promettant :
— En te voyant, on ne dirait pas que tu es si bien monté, mais aujourd’hui, contrairement à hier, je vais pouvoir me régaler de ta bite de poney !
Elle se met à genoux entre ses jambes et commence à lui prodiguer une fellation de vraie professionnelle, en lui léchant la tige ainsi que les bourses pendant que ses deux mains s’activent en sens contraire sur cette hampe magnifique, allant même jusqu’à la gorge profonde. Il ne faut pas longtemps pour qu’Olivier n’en puisse plus.
Il soupire et geint faiblement quand soudain, des bruits résonnent dans le couloir. Olivier se fige, regardant la porte, il est paniqué en voyant la poignée tourner. A-t-il fermé la porte à clé ce petit con ? Une montée d’adrénaline coupe son envie de jouir. Sylvie à genoux, ne s’est aperçue de rien, ...